❝ WHO YOU ARE

❝ IDENTITÉ

NOM & PRENOM : TOLIM (de son vrai nom, Musashi)
AGE : 25 ANS
VILLAGE:
RANG : NUKENIN/YAKUZA
NIVEAU DE PUISSANCE : A ?
SPÉCIALITÉS : KENJUTSU-TAIJUTSU-SENSORIEL-IROUJUTSU
ÉQUIPEMENT : Une quantité infini de poignards et couteaux.

❝ CARACTERE

Tolim est un personnage décrit comme quelqu'un de très impitoyable par ceux qui l'entouraient, et affiche une volonté de dominer les autres afin de gagner à la fois en puissance, mais aussi en richesses, ou détruire quelqu'un ou quelque chose qui se révèle être un obtacle. Nombre de personnes ont déjà succombé à ses manipulations. Manipulateur habile et stratège hors pairs, il se présente d'une manière hautaine, cultivée et sophistiquée. Contrairement à ses alliés, c'est un homme cruel et impitoyable et sans pitié ayant recours à n'importe quel moyen pour arriver à ses fins. Il est écrit à la preuve d'un mépris pour la vie humaine et les libertés cibiles, prêts à exécuter des innocents si le besoin s'en fait ressentir ( y compris les enfants), non seulement pour provoquer ses confrères au combat dans une tentative d'affirmation supérieure à la leur, mais surtout pour instiller la terreur et l'obéissance comme conséquences civiles. Loin de se priver du confort d'honorables jeunes femmes, plutôt Dom Juan, il a affiché des tendances machiavéliques en ce qui concerne ses relations avec les autres. Il se caractérise comme étant le symbole même du rétrécissement du monde shinobi. Son but d'abroger les moeurs du Rikudo Sennin par le sang en tuant quiconque il jugera nécessaire. Assassins de renom, il annihile ses adversaires avec une manière effroyablement calme et impassible, référant ses actes avec de l'humour noir. Au-dessus de tous les autres traits, la loyauté de Tolim à l'égard de son maître est forte, et il complète tous les objectifs de celui-ci avec soin et efficacité. Il saisit toutes les occasions qu'il peut pour faire avancer l'ordre du jour de l'Uchiha. Doté d'un calme et d'une légèreté d'esprit affolante, il se révèle parfois être diplomate. Un diplomate qui ne laissera jamais quelque chose qu'il convoite lui glisser entre les doigts. Rusé et habile tant dans la parole que par les gestes, il ne se laisse dicter sa conduite que par son instinct et rien d'autre. L'image du sadique-humoriste lui colle parfaitement à la peau et son esprit décalé insupporte parfois son chef. Il réfléchit toujours avant de passer à l'acte, évaluant toutes les possibilités pour se résoudre à la meilleure marche à suivre et n'échoue que très rarement aux objectifs qu'il s'est fixé. Peu de personnes qui l'ont rencontré sont encore vivantes pour parler de lui. Un tragédien qui ne fait pas semblant d'assassiner lorsque le script le demande. Souillé par le sang des démons, voilà comme il est décrit..

❝ PHYSIQUE

Il y aurait bien nombre de qualificatifs qui puissent désigner allègrement toutes les facettes de notre maître bonimenteur. Une élégance simple, raffiné qui n'a pas fini de surprendre la gente féminine. Tolim fait parti de ces personnes disposant tout naturellement d'un charisme tantôt brillant pour certains, tantôt insidieux pour d'autres. Et je n'aurai pas besoin de vous faire un long discours pour savoir dans quelle catégorie se trouve notre beau brun.
Tolim est un jeune homme disposant d'une carrure assez svelte, de taille moyenne et avoisinant le mètre quatre-vingt pour un poids frôlant à peine la cinquantaine de kilos. Sa tête est surmontée d'une chevelure brune continuellement en bataille tend à accroître son côté "mauvais garçon". Démon aux yeux teintés de sang, monstre vous guettant ou que vous soyez. Tel est-il décrit par ceux qui auraient eu le modeste plaisir d'avoir croisé sa route. Son visage à l'ovale pur présente des traits fins, au regard perdu dans la contemplation et l'écoute de son instinct, avec un sourire à la fois merveilleusement malicieux et délicieux. Les muscles graciles de son corps font de lui un homme remarquablement habile, avec une gestuelle sophistiqué et très élégante. Il ne s'use jamais par des mouvements inutiles et cela devient encore plus impressionnant lorsqu'il combat, puisqu'il a développé ces aspects de son physique pour fortement travailler dans de langoureuses démarches, son esquive et sa parade. Bien qu'il puisse être dénué d'attention dans n'importe quelle situation, esquiver et parer sont presque devenu des automatismes, son « bouclier ultime ». Côté vêtements, il porte un manteau à capuche noir et à fourrure beige, tirant souvent vers une couleur un peu moins terne en fonction de l'éclairage, un pantalon bleue foncé tenant presque du style jogging. des chaussures noires. En somme une tenue simple et pratique pour passer inaperçu. La seule banalité restant son manteau dont il lui arrive parfois de rabattre la capuche.
Un jeune homme aux mœurs et attitudes bien étranges, un jeune homme appuyant ses paroles de gestes démesurés. Un jeune homme qui parait bien sympathique, mais la sombre lueur qui luit dans son sombre regard rappelle le contraire

❝ HISTOIRE

Je suis né grâce à ce que la nature à de plus beau: la vie. Mais la vie, elle, ne serait peut être pas que cette nature ne serait pas celle que j'aurai espéré depuis ma tendre enfance. Couvant dans le ventre de la femme de l'Obayun, je naquis au sein du clan du clan Ryu au Pays de la rivière, dans un monde au bord du précipice, un monde qui se condamnait lui-même à sa propre potence, même si je n'eu point le loisir de découvrir directement et personnellement les bienfaits du sang-versé, cette vision s'était ancré profondément dans ma tête au point qu'il m'arrivait dans ma jeunesse de provoquer quelques bagarres, certes sans conséquences, mais qui avaient pour but de pousser mes jeunes opposants pour que l'irréparable soit commis, dans la seule optique de voir comment cela faisait en vrai. Les Yakuzas ont des règles très strictes que chacun et chacune ce doivent de respecter même s'il était assez rare que la gente féminine figure au sein même de ce cercle maussade

Jouissant du statut d'être le fils d'un des meilleurs Yakuzas du clan (même si le terme "meilleur" en lui même n'était pas le mieux approprié) je reçus une éducation pas des plus médiocre et appris rapidement les nombreuses us et coutumes imposés par le fait d'être fils de Yakuza. En effet, l'esprit humain, né pour agir, amoureux de mouvements et d'insubordination, n'était pas vraiment s'être réalité auquel j'aspirais depuis mon plus jeune âge. Bien qu'ont nous inculquaient de façon strict et autoritaire les nobles traditions afin de ne pas mettre notre esprit en proie au doute, il arrivait pour certains qu'un sentiment de défiance à l'égard de leurs confrères et supérieurs naisse, les menant à se demander si tout cela pourrait constituer leur constituer un avenir. J'étais véritablement le seul du clan oblitérer par ses pensées. Oui, se défaire de ces opulentes coutumes pour trouver une vie qui me correspondrait plus. Bien qu'au fil des années ces pensées s'atténuèrent , elles subsistaient.

Contrairement à mes frères qui ne se mettaient en tête que de suivre exclusivement le chemin de père, j'étais très proche de ma mère auquel je confiais tous mes soucis, toutes mes craintes, tout ce qu'il y avait de plus désagréable au fond de moi-même. Elle était bien plus qu'une utile amitié frêle et incertaine, elle savait guider le moindre de mes pas, m'expliquer toujours ce qu'il fallait faire lorsque j'étais dans la détresse. Une femme au cœur pure baignant dans une éternelle illumination. Reflet de son âme et pilier de notre famille. C'est ainsi que je la voyais. Et aussi respectueux que pouvez être mes frères, ils n'avaient pas une once de gratitude pour tout ce qu'elle faisait pour nous au quotidien. Comment pouvaient-ils agir ainsi ? De manière si ingrate et repoussante ? Ils ne deviendraient jamais comme père, jamais. Un homme unique et irremplaçable. À la fois juste est strict. Un modèle pour plus d'un des gamins de mon âge. Mais ils idolâtraient un homme qui n'avaient en aucun cas le droit et le mérite pour accueillir tout leurs grâces. Personnes égoïstes se terrant dans une cavité sombre, humide et incertaine. Il ne leur rendrait pas, ils se fourvoyaient..

L'apprentissage du ninjutsu ne fut guère une chose évidente. Je n'avais pas bonnes prédispositions à sa maîtrise. Comme pour le chakra que j'étais loin de manipuler correctement. À l'instar de mes semblables, je n'étais qu'une tâche sur le paysage, une personne qui serait incapable d'honorer le blason du clan Ryu. C'est exactement ce qu'ont m'avaient dit. C'est inoculer le fléau que de se mêler à ce qui est malade à ce qui ne l'est pas. Des phrases dures, pénibles et déconcertantes qui forgèrent peu à peu ma personnalité. Je m'étais renfermé dans ma bulle et avait finit par adopter un comportement non pas offensent à l'égard de ceux qui m'entouraient, mais tout simplement un comportement qui avait pour but de les complaire dans leurs tentatives de me stigmatiser. Motivations atténués, ambitions endolories, leurs mots finirent par être de plus en plus froids, plus éreintants et cette marque d'opposition ils ne l'appréciaient guère. Le rejeton de Tairiku est une personnes pleines de valeurs, avec énormément de potentiel. Ce n'est pas dessiné sur son visage, c'est ancré en lui


Le meilleur, étant le moins mauvais. En revanche, même si je ne pu presque pas maîtriser le ninjutsu ou le genjutsu, j'étais particulièrement doué dans le kenjutsu et le taijutsu dans lesquels j'excellais au point que ma maîtrise particulière parvint à inquiéter légèrement les kyodai qui voyaient en moi peut être autre chose qu'un Yakuza. En un sens, il n'avait pas forcément tord même s'ils devaient reconnaître que mon talent avait réussi à faire mouche au point qu'ils m'avaient enfin accepté parmi-eux. En tant que Yakuza. J'étais tombé jadis dans une position difficile, et inopinément des malheurs publics et personnels étaient venus m'enlacer d'un réseau que je n'avais jamais vraiment réussi à dénouer et rompre. C'était enfin la reconnaissance que j'attendais de mes semblables, qu'il m'estime comme eux. Comme le shinobi qui vit profondément du regards des siens, il était essentiel que je ressente ce sentiment.

Mère, atteinte par la maladie, ne tarderait pas à s'éteindre. Et devant l'impassibilité de père je me sentais si impuissant. Si misérable. Il m'avait enfanté avec une femme, une femme qu'il aimait et avec qui il partageait sa vie depuis si longtemps. Comment pouvait-il garder la tête haute ? Continuant d'arborer sa fierté avec accoutumance comme si la disparition de sa tendre n'aurait aucuns impacts sur sa vie et celle du clan, je ne pouvais m'efforcer de croire qu'il était ainsi. Lui qui avait fait la guerre, lui qui l'avait vécut, lui qui avait vu les siens sombrer dans un profond sommeil, leur sang sur son visage... Maudite fierté, maudite image, maudits préceptes. J'avais de la haine.. et elle ne partirait pas aussi facilement..

Aussi longtemps que j'avais appris sa maladie, j'étais resté à son chevet. La noyant de comptes lumineux et de comptes-rendus journaliers. Ce que j'avais fait de ma journée, qu'est-ce qu'avaient fait mes frères. Maintenir ce lien aussi longtemps qu'elle aurait les yeux ouverts, le visage souriant en dépit de la maladie. Mais je le savais, je savais pertinemment.. c'est ainsi et j'aurais beau faire tous les efforts du monde, je ne pourrais l'empêcher de trouver le repos.. Et le meilleur titre que la vie et la nature aient à notre reconnaissance, c'est que sachant pour quelles misères nous naissons, elle a imaginé, comme adoucissement à nos peines, l'habitude qui nous familiarise vite avec ce qu'elles ont de plus rude. Mais là, je ne pouvais me contenir, contenir ce flot émotionnel.. Mère, je t'aime. Je t'aimerais toujours

Déconfit, brisé. C'est ainsi qu'était mon âme, c'est ainsi qu'était mon corps. Les jours qui suivirent furent loin d'être joyeux. Sombrant dans la dépression, je commis nombre d'interdits sévèrement punis par le code des Yakuzas. Le respect n’existait plus.. avaient-ils eu du respect envers mère ? Offensant je l'étais devenu. Pourquoi ne devrais-je pas l'être alors qu'eux c'étaient permis de l'être envers mère ? envers moi ? Nul n'y aurait résisté. Et cette fois-ci, même le temps n'y changerait rien. Même si les adversités avaient dans leur durée la même violence qu'au premier choc les conséquences n'auraient pas été pires. Mais le code devait être respecté, et père fut le premier à me tenir en joug de celui-ci, même, il l'appliqua lui-même. Evidemment il aurait été idiot de croire qu'être son fils aurait pu me sauver des sévices corporelle, mais j'eu tord de croire cela. Je fus amputé de l'auriculaire de ma main droite et depuis ce jour, après avoir attenté à mon père et au clan entier, je finis par fuir sous la contrainte et l'impuissance.

Errant désormais seul, j'appris à découvrir le monde, à développer ma haine envers les Yakuza, les shinobi. Traquant pillant, tuant sans pitié quiconque arborant des ambitions qui me plaisaient guère. Les Yakuzas figurant continuellement sur le haut de ma liste je m'étais mis en tête des les éradiquer complètement, et cela avait commencer.
Tout comme moi, lui aussi nourrissait une haine féroce envers les siens. C'est ainsi qu'après un combat des plus mouvementés j'avais rejoins les rangs d'un ninja de renom, ancien chef du clan Uchiha. Nous partagions un but semblable et le monde ne tarderait pas à nous découvrir..