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| Sujet: J'écrirais ma propre légende. [Terminé pour votre plus grand plaisir] Lun 7 Jan - 10:22 | |
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❝Homme ou Femme? Dieu n'arrivant pas à se décider pencha pour les deux.
NOM & PRENOM :Kōsei Syūn'ichi AGE : 5110 jours soit 14 petits printemps fleuris sous la brume. VILLAGE: Kirigakure no Sato RANG : Genin NIVEAU DE PUISSANCE : Rang C qui n'en a pas fini d'évoluer (B avec sa partenaire jumelle) SPÉCIALITÉS : Ninjutsu | Kekkai Genkai : Katon bleu ; Kenjutsu ÉQUIPEMENT : Tout ce qu'il faut pour mettre un ennemi en déroute de manière...définitive.
❝Science infuse ou con de premier ordre?
Le seigneur a dit "si quelqu'un te frappe à la joue gauche, tend-lui ton crochet du droit et emmène-le en enfer." Impulsif, c'est l'adjectif qu'on utilise le plus souvent pour décrire cet énergumène. Malgré l'innocence qu'affiche son visage d'ange aux yeux bleus, son caractère n'est pas aussi...angélique. Dites-lui qu'il doit se calmer, il s'énervera encore plus. Dites-lui qu'il n'est pas assez fort et il se fera un plaisir de vous prouver le contraire. Que quelqu'un dise ne serait-ce qu'une critique sur Kōsei et...enfin disons qu'il est plutôt du genre à frapper/assommer/tuer avant de demander plus d'explication. Il est très susceptible de caractère et sa manière de répondre aux provocations semble un peu...excessive il faut l'avouer. Le jeune garçon et la diplomatie c'est comme les chats avec les bains. Ils savent que ça existe mais n'ont pas pour autant envie de l'essayer.
-OUAIS, ce ne sont pas tes palabres qui vont arrêter mon katana nyark nyark. -Certes certes, laisse donc ton créateur chéri finir ton caractère s'il te plaît.
On dit que sous une apparence de gros dur se cache une petite fille apeurée, haha elle est bien bonne! Kōsei Syūn'ichi est pour ainsi dire un simple d'esprit. On lui indique l'endroit où il faut cogner et ça lui suffit. Il laisse la paperasse et les raisons de la mission à sa partenaire. Il ne prend pas l'expression "force brute" pour quelque chose de péjoratif puisque c'est la vérité. Les équations à double voire triple-sens, ça n'a rien à faire dans sa tête: ennemi+lui=combat, combat+coup-de-sabre-japonais-bien-placé= mort-de-l'ennemi c'est à dire mission réussie! Les pensées philosophiques n'ont pas leur place dans ce monde dominé par les shinobis après tout. Tant que les missions sont bien payées, il pourra toujours trancher le problème...dans la mesure où ce problème respire et pointe un objet tranchant devant lui bien sûr.
-Ben vas-y, dit tout de suite que je suis un âne tant que t'y es! -C'est pas loin de la vérité pourtant mon coco. Tais-toi maintenant. -Pffff.
Je m'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie... L'adolescent n'a peut-être pas inventé le fil pour étendre le linge mais la vie lui a montré à maintes reprise qu'un esprit brillant ne pouvait trouver réconfort que dans la solitude. Le meilleur exemple est celui de sa soeur. Elle est son opposée en tout point si bien qu'ils se complètent parfaitement. Elle est aussi calme, raisonnable et réfléchie qu'il est impatient, impulsif et borné dans ses actions. Alors si l'élément de la demoiselle est la glace, froide, figée et immuable; celui du jeune héritier des Syūn'ichi est le feu, brûlant, tourbillonnant et énergique. Sans y mettre de passion on n'arrive à rien. C'est pourquoi même en charcutant quelqu'un il faut y mettre toute sa passion. Telles sont ses règles de vie. Par ailleurs sans son adoration effrénée pour la couleur rouge, sa tendance à avoir le coup de sabre léger au moindre sursaut d'humeur, Kōsei s'avère être un genin tout à fait ordinaire.
Les amis c'est comme les couches, quand l'odeur annonce la couleur il faut en changer...rapidement. Monsieur Kōsei possède un tempérament qui attire les gens, par masochisme ou tout simplement parce qu'il trouve le moyen de sourire de manière innocente malgré les temps durs. Quand le jeune brun n'est pas en mission, c'est un garçon joueur et enjoué qui remplace le monstre sanguinaire qui ne pense qu'à transformer des adversaires en steak haché. Ce revers de personnalité ne manque pas d'effrayer les gens qui ont eu le malheur de l'assister lors des missions d'extérieur. Il ne dira jamais non à une belle bagarre. Quand je disais que Kōsei Syūn'ichi était un shinobi parfaitement normal.
❝ Beauté divine ou thon de premier choix?
Ose dire que je ne suis pas à ton goût... Comme tout humain de ce monde, ce jeune éphèbe est pourvu d'une tête, deux bras, deux jambes et d'un tronc pour tenir le tout. Malgré les apparences, il y a bien un cerveau sous cette couche de peau nacrée qui se colore à chaque émotion pour son plus grand malheur. Avoir l'air d'une tomate bien mûre à chaque fois qu'il voit la fille de ses rêves, ça lui fait franchement une belle jambe! Il porte toujours un katana en bois pour l'habitude mais si la situation l'exige, il n'hésite pas à utiliser le katana précieux du clan. Bien sûr ce très grand héritage familial ne se laisse pas facilement prêté si bien qu'il est parfois obligé de l'emprunter (pour une durée indéterminée, ce n'est donc pas du vol). Entre le grand héritage familial et sa propre vie, le choix est vite fait. Ni trop grand ni trop petit, il est assez fort pour stopper un buffle affublé d'une rage de dent une main dans le dos bien qu'il n'ait jamais essayé l'exploit.
-Dis plutôt que je pourrais arrêter deux buffles! -Kōsei, cou-couche panier. L'Art du combat où lorsque l'Intelligence et 10 kilos de muscles s'affrontent, c'est souvent les 10 kilos de muscles qu'il faut préférer... Kōsei Syūn'ichi applique cet enseignement sortit de nulle part avec une ferveur implacable. Voir son biceps s'arrondir dans des proportions dignes d'un lanceur de poids des jeux olympiques lui procure une sauvage satisfaction. Ce n'est bien évidemment pas la partie la plus puissante de son anatomie. Certes, pour un garçon de son âge il a de quoi être fier de sa silhouette de futur samouraï légendaire. Se perdre dans ses yeux aux multiples nuances de bleus pourrait s'avérer mortel pour ses ennemis. Un visage d'ange encadré par une masse de cheveux sombre, tout en lui déclame: "Tout va bien madame la marquise, reposez-vous donc sur cet arbre pendant que je me charge de vous ouvrir les entrailles à l'aide du katana que voici en faisant jaillir le plus de sang si possible."
-Pourquoi tu voudrais que j'égorge une marquise? -C'est de la culture pauvre inculte! Ferme ton clapet je suis presque à l'histoire!
En mission vous n'avez pas le droit d'emporter un miroir? Pas de soucis votre soeur jumelle peut très bien faire l'affaire... Rien ne le différencie de sa soeur si ce n'est la coupe de cheveux, la masse de muscle et la chose en bas dont tout Homme de sa caste est normalement pourvu. Kōsei n'est pas très propre. Pas dans le sens où un putois malade sentirait la rose à côté de lui non, sinon sa soeur ne lui permettrait même pas de rester à moins de cent mètre d'elle. Il a simplement tendance à couper tout ce qui passe sous sa lame sans vraiment se préoccuper de la manière esthétique de la chose. Ce n'est qu'un genin après tout, on peut bien lui pardonner de salir le parquet avec quelques bouts d'intestins non? Malheureusement le sang part difficilement au lavage, si bien qu'il reste toujours quelques taches écarlates sur ses chemises propres. Pas très engageant pour se faire des amis.
❝Tragedy or epic story?
-Trêve de plaisanterie, il est temps d'entamer le chant épique de ma vie. Au sein d'une famille banale de ninjas banals dans un village banal aux côtés de ma soeur...tout sauf banale.C'est fou comme nos caractères sont pas du tout en phase. C'est à croire qu'il n'y avait pas assez de gênes pour nous deux si bien qu'il a fallu nous les partager. Je déteste cette impression d'être incomplet sans elle, mais je me sentirais encore plus mal si elle n'était pas là. Je ne vois pas pourquoi elle se targue d'être l'aînée, une simple envie de m'être supérieure en quelque chose? C'est tout à son honneur. -Si tu veux.
Il faut savoir que le jeune shinobi n'est qu'à l'aube de sa jeunesse, autrement dit; un gamin...il n'a pas la légendaire expérience des ermites ni le sadisme sanglant de la Mizukage. Le jeune homme est dans une période dite Dora l'exploratrice; le monde extérieur l’intéresse au plus haut point. Notamment son étrange curiosité pour la cuisine humaine. Sentir sa lame traverser un corps tangible qu'il soit animal ou autre lui permet d'assouvir cette curiosité. "Jusqu'où suis-je capable d'aller?", "Finirais-je par ressembler à la Mizukage si je continue dans cette voie-là?", "Je kiff ses cheveux rouges, je veux les mêmes!" Mais avant d'en dire plus, pourquoi ne pas commencer par le commencement?
Le soleil brille sur le village de la Brume. Enfin, c'est l'idée que l'on se ferait si la brume éternelle n'enfouissait pas les petites îles dans un éternel cocon d'obscurité. Le moindre rayon de soleil se retrouve ainsi happé par cette nappe de vapeur lourde et humide. On se demande vraiment pourquoi le village s'appelle ainsi. C'est donc par une journée de printemps nuageuse que deux jumeaux naquirent au sein du clan des Syūn'ichi. Un petit commentaire sur l'action passionnel d'une mère pour ses futurs enfants ,monsieur Kōsei?
-Vous voulez que je vous dise que ma mère a enfanté dans la souffrance? Que le travail a duré des jours et que sa vie ne tenait qu'à un fil? Et bien non, d'abords ce serait totalement faux et j'ai d'autres choses à dire que palabrer sur ses entrailles. Elle a souffert ça c'est clair mais pas au point de manger des pissenlits par la racine. Une famille de Shinobi tel est le clan des Syūn'ichi auquel j'appartiens. Par clan j'entends papa, maman, Kō-chan et pépé...
Oui, une petite famille réduite suite aux nombreux meurtres crapuleux et enlèvements sournois qui régnaient au sein de ce monde. Au village de Kiri la faiblesse est très souvent synonyme de "mort" ou encore "en sursis", "sur le point" bref tout ce qui se rapporte d'une manière ou d'une autre à l'extermination d'une vie. Les habitants n'étaient pas très tendre entre eux, ce qui doit être le cas partout si l'on y réfléchit bien. Nous sommes dans un monde de brute, et seule la force brute peut poser ses marques au sein de l'Histoire. C'est dans cet état d'esprit que jour après jour, Kōsei Syūn'ichi s'ouvrait au monde extérieur avec la personne dont il considérait n'être qu'une extension de lui-même: Kō Syūn'ichi. Avant d'avoir l'âge de se différencier, sa relation avec elle était fusionnelle. Elle l'est toujours d'ailleurs, même si parfois ça lui fiche les jetons de savoir à quoi il pourrait ressembler avec les cheveux plus longs, une poitrine et...rien en dessous. Ses deux parents Kohana et Kōsuke étaient deux fameux shinobis au service de sa majesté (niark niark)...de notre ex-mizukage. Ils étaient si bon dans leur spécialité que pas un jour ne passait sans qu'ils ne doivent partir en mission quelque part à l'autre bout du monde. Quand bien même le jeune garçon savait qu'il devait appeler ces deux adultes "père" et "mère" il n'avait qu'une vague idée de l'amour que l'on est sensé porter à la famille. La seule autre personne qui pouvait bénéficier de cet amour d'enfant était Kōshi: son grand-père (pépé pour les intimes). Ancien grand shinobi épéiste à la retraite et bon camarade de notre mizukage actuelle, il repoussa l'art du Kenjutsu jusqu'à l'extrême perfection avant de brusquement changer de bord. Non ce n'est pas une soudaine attirance pour la gente masculine qui le changea, mais une soudaine...pacification. Du jour au lendemain il rangea son uniforme pour ne vivre que pour les plantes du jardin. Malgré tout, le jeunot de six ans qu'il était alors sentait bien que la famille n'était complète que lorsque tout le monde était réuni autour d'une table de Mah-jong avec quelques bouteilles de sake, ou lorsque les disputes entre le troisième âge et la mère faisait trembler toute la maison.
L'année suivante, sept ans avant l'âge actuel de notre héros, un horrible incident fit sonner le glas pour la famille des Syūn'ichi. "Un accident suite à une simple mission de repérage des frontières ennemies." disaient les ninjas légistes. Les parents Syūn'ichi auraient été prit en embuscade par des ninjas déserteurs sur le chemin de retour au village. La nouvelle Mizukage qui parvint au pouvoir juste après leur mort fit graver leur nom sur un édifice en hommage à tous les shinobis morts avec bravoure et... -Tu parles, moi je trouve leur mort hyper soupçonneuse! Ils étaient des fervents partisans de l'opposition qui voulait défaire le père de la Mizukage actuelle, autrement dit, une miette de pain dans le lit douillais de cette folle. Et tout ce qu'ils gagnent c'est quoi? Un nom sur un vulgaire cailloux, à leur place j'aurais choisit un meilleur plan de carrière... -Là n'est pas la question Kōsei, ils sont dead, entérrés, point. Soit heureux de ne pas figurer déjà sur ce cailloux!
Bref, la mort accabla leur maison longtemps tandis que la politique du village changeait lentement mais sûrment. Les deux enfants trouvèrent le moyen d'apaiser leur tristesse mutuellement en se rapprochant encore plus, l'un trouvant du réconfort chez l'autre. Mais le sentiment principal qui dominait chez le petit garçon au visage d'ange était un immense vide. Il ne pleura même pas à l'incinération de ses deux géniteurs, juste la vague sensation de ne plus jamais les revoir. Ils étaient partis, pour de bon cette fois. Le pépé prenant l'éducation des jeunes enfants en main exposait sa science des plantes médicinales et poisons dont on pouvait extraire la sève des plantations. Il ne voulait pas que les derniers membres de sa précieuse famille finissent leur vie un shuriken dans la gorge ou les os broyés par un chakra supérieur. Si la jumelle des Syūn'ichi buvait les paroles du vieux religieusement, le jumeau lui, baillait avec agacement en balayant tout ça du revers de la main. Les salades, c'était bon pour les herbivores. Lui était un carnivore, un adorateur de la viande rouge. Le pépé-gateau pouvait se complaire dans son jardin remplit d'insectes, tant mieux pour lui. Kōsei lui avait d'autres projets en ce qui concernait son avenir.
Depuis toujours, le rêve du petit Kōsei était de faire partie de l'élite du village, être l'un des sept grands épéistes de Kiri. Dès lors il s'entrainait avec sa soeur aînée dans le dos du vioque dans la fôret humide, dans la cour derrière l'Académie des petits ninjas. Ils s'évertuaient chaque jour à reproduire les entrainements qui pouvaient forger leur corps. C'est en voyant les deux enfants de 10 ans se battrent sérieusement dans la cour que le viellard comprit qu'il ne pourrait les empêcher d'atteindre leur but. Kōsei et Kō possédaient tous les deux la même lueur qui animait son regard autrefois. Une monstrueuse rage de vaincre et de la détermination. Au terme d'une longue réflexion, il décida enfin de les inscrire à l'Académie. -Enfin, c'est le mot! Il en aura fallu du temps pour que l'information rentre au cerveau. On est les plus vieux des genin à cause de son envie de nous voir cultiver des orties. Enfin, du coup il est devenu en quelque sorte notre maître à Kō-chan et à moi. Il m'enseigna l'art du Kenjutsu et l'Iroujutsu pour ma soeur vu qu'elle a l'air d'aimer ça les feuilles....
Et donc durant quatre ans, les deux futurs shinobis s'entrainèrent sans relache pour rattraper leur retard par rapport aux autres enfants. Ceux-ci d'ailleurs ne manquaient pas de les chahuter. Pensant que les jumeaux étaient attardés du fait de leur grand âge, les railleries allaient bon train. Bien sûr si la dernière membre des Syūn'ichi lançait de vives réparties avec un regard dédaigneux il n'en allait pas de même pour le jeune brun. Lui, c'est "T'as même pas besoin de me chercher, je suis là. Et tu vas en baver". Se défouler sur quelque chose, ses "amis" en l'occurence, ça lui fait énormément de bien. Pour rien au monde il ne manquerait une bonne baston. Parfois même sans y avoir été invité il rentrait quand même dans la danse. Que ce soit pour protéger quelqu'un ou l'enfoncer dans la bouse de Poney magique encore plus, il prenait partie pour le côté en sous-effectif. Comme attendu, c'était toujours son côté qui gagnait. Les sentiments oscillaient entre le respect et la crainte mais tant que son image restait gravé dans les esprits, c'est ce qui comptait le plus. -Tutafait, que ce soit en bien ou en mal, j'écrirais ma propre légende! -Pas mal le slogan mon chou.
La seule personne qu'il se promit de ne jamais frapper, c'est sa soeur aînée (de seulement trois minutes je précise). Ben ouais on frappe pas un membre de sa famille, qui plus est une fille. Ce n'est certainement pas parce qu'il sait qu'à tout moment elle pourrait glisser du poison dans son steak saignant. Après tout c'est la personne la plus proche de lui, celle qui le connait le mieux et la première dans son coeur à ce jour. L'amour fraternel, il n'y a rien de plus beau. Malgré leur dispute de gamin, ils s'entendent comme larrons en foire. Toujours là pour s'épauler l'un l'autre si besoin. Dans ce monde cruel, ils forment les deux moitiés d'un tout... -Bon bon ça va, tu vas dégoûter les lecteurs avec ton sentimentalisme à la con. -Je suis ton marionnetiste, j'écris ce que je veux okey? Alors va bouffer des ramens ailleurs, j'ai une histoire à finir!
L'âge doré de l'adolescence. C'est l'époque actuelle où se déroule l'histoire de deux jumeaux blazés de la vie. Leur maîtrise similaire du katon bleu n'est pas encore au sommet de sa perfection. D'ailleurs on se demande pourquoi une couleur si particulière pour ce ninjutsu ( Kōsei aurait bien préféré un katon rouge lui). Ils sont devenu des genin au rang tout à fait honorable pour un si jeune âge. Ils n'ont en pas fini de se perfectionner, notamment dans le kenjutsu pour le jumeau. La suite de son histoire ne dépends que de vous! -Hey, t'essaies pas de vendre mon histoire là? Je suis pas un produit pour faire de la pub! -Mais la ferme, tu gâches la fin de l'histoire!
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Tairiku No Sanzoku将軍 Le Shogun 将軍
Messages : 166 Date d'inscription : 12/12/2012
Dossier Shinobi Niveau de puissance: S Grade: Oyabun du clan Ryu | Sujet: Re: J'écrirais ma propre légende. [Terminé pour votre plus grand plaisir] Sam 12 Jan - 0:48 | |
| Très bonne fiche dans l'ensemble. J'aime beaucoup le dialogue du personnage avec le narrateur.
Je valide, si un staffeux à quelque chose à redire... |
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