Dossier Shinobi Niveau de puissance: D Grade: Genin
Sujet: Effet Miroir ¤ Miyu ¤ Fubuki ¤ Côté claire Fubuki Yuki [Fini] Mar 22 Jan - 5:50
❝ ¤ Effet Miroir ¤ Miyu & Fubuki ¤
❝ Côté claire Fubuki Yuki
NOM & PRENOM : YUKI Fubuki AGE : 14 ans VILLAGE: Kiri no Sato RANG : Genin NIVEAU DE PUISSANCE : D SPÉCIALITÉS : Kenjutsu // Ninjutsu // Fuinjutsu (prédispositions mais pas encore utiliser) ÉQUIPEMENT :Un Wakizashi sur mesure
PHYSIQUE
Les premier rayon du soleil qui pointes sont a mon image ...
Spoiler:
Alors que les premier rayon du soleil touche mon visage, me réveillant et que je me lève dans la chambre encore a demi plongée dans l'obscurité, je songe a ma jumelle pour qui les matin sans exceptions sont une épreuve. Le bleu sombre de mes cheveux me tombe encore devant les yeux alors que je tente les premier gestes de vigueur, a savoir me frotter longuement les yeux du dos de mes mains pour tenter d'y voir mieux. J'ouvre enfin mes yeux et pose mes iris couleur acier sur le visage encore endormis de ma sœur. Un sourire se dessine sur mes fines lèvres lorsque je songe au calme matinal avent qu'elle ne se réveille, identique a moi si ce n'est la coiffure qui n'est pas reconnaissable le matin. Le seul point hormis cela qui nous différencies est notre posture, notre expression, car si celle de ma copie conforme est rieur espiègle et souvent marquer par une forme d’agitation et d’énergie consente, il contraste avec le mien, réservé, doux et surtout très calme et poser.
Je m'occupais de ranger un peu comme a mon habitude avent d'aller prendre ma douche matinal, mais je constata un peu ennuyée que mon double avait été quelque peu troubler dans son sommeil, peu être par ma faute. Je partie donc prendre ma douche après avoir préparée mes traditionnelles affaires, a savoir un Dogi Noir/ gris frapper de l’emblème des Yuki en blanc dans le dos, le tout noué d'une ceinture blanche comme la neige. Je me déshabilla et admira quelques instant, le temps que l'eau chauffe les lignes jeunes et sinueuse de mon corps en pleine croissance. Je me demande d’ailleurs si ma sœur as exactement les même, mais je pense que oui, n’avons nous pas la même peau blanche et légère ?
Après m'être habillée et coiffée de ma coupe droite et disciplinée, lisse et tombant légèrement sur mes épaules telle une rivière tranquille, je laissa place a ma copie et partie du côté de la sale a manger.
❝ CARACTERE
Spoiler:
La première chose qui me frappa lorsque l’arriva dans la vaste sale a manger fût notre père. Sa stature autoritaire dégage une présence et un charisme fou, je ne sais pas comment ma sœur arrive a lui tenir tête sans arrêt. C'est comme tout les matin qu'il me toise lorsque j'arrive et que moi je m'incline bien bas en lâchant un petit " Bonjours outou-sama "; ce a quoi il se contente de ne pas répondre, tout simplement
je n'ai pour ma part ni l'envie, ni le courage de lui tenir tête, ce n'est pas mon genre. En effet, si Miyu est une forte tête qui as un peu de mal avec la discipline, moi je suis une fille docile et discrète. Comme tout les matin, je m’assaied en seiza tranquillement au bout de la table et j’attends, j’attends que ma sœur adorée daigne descendre. Non, je ne lui en voulais pas, elle était comme ça après tout, je suis une fille compréhensive et très patiente, peu être même trop, mais est-ce un défaut ? Pour moi la gentillesse et l’empathie sont des qualités primordiales, ce sont des qualité qui m'ont d’ailleurs valus une certaine forme de rejet de la part de notre père. Celons lui mon tempérament trop doux et gentil ne sont pas compatible avec la condition de Kunoichi, il as alors jeter son dévolu sur ma sœur, privilégiant son propre entrainement pour qu'elle devienne sa fierté.
Moi ? Je me débrouille toute seule. Si j'en souffre ? Évidement, qui ne souffrirait pas d'être considérer avec dédain par son propre père ? Cependant j'en suis aussi heureuse, car ma jumelle s'y retrouve elle. Cette situation contribue a la rendre heureuse et a combler son désire d'attention, car oui, une sœur peu lire dans le cœur de l'autre et aussi vrais qu'elle sais que cette situation me fais mal, je sais qu'elle en souffrirait aussi si il n'y avais pas cette partie de moi qui constamment n'aspire qu'a veiller sur elle.
je pense bien sûr que vous l'avez compris ? Ma sœur est a peu de chose près la seule chose qui compte vraiment pour moi, je m'occupe d'elle le plus souvent possible. cela passe pour l'aider a s'entrainer, jusqu’à la collation après le dit entrainement. Si père s'occupe de lui enseigner tout ce qu'il sais, moi je m'occupe de l'intendance et de l’entretien de notre championne, en coulisse bien sur.
En effet si il y as une qualité que père as reconnu chez moi après même qu'il m'ai mis a l’écart, c'est mon intelligence et mon don innée pour assimiler telle une éponge tout ce que je lis, tout ce que j’apprends, un tallent que je met a total disposition de mon double, même lorsque je ne le voudrais pas. Si elle se met dans une situation dérangeante, c'est a moi de l'en sortir par tout les moyen .. Enfin, de NOUS en sortir. Oui ... je suis trop réservée pour dire non, même lorsque je sais que Miyu vas faire une bêtise, je ne peu que me laisser docilement entrainer sans broncher dans son délire, mais que serais la vie sans un peu de piment ?
Justement, là voila qui descend. Je lui adresse un beaux sourire pour l’accueillir. Le repas tourna comme une bonne partie des repas pris dans cette sale, alors que moi je mange docilement et avec le sourire l'infecte mixture préparer visiblement pour nous empoisonner, ma jumelle adorée envois le bol s’écraser a l'autre bout de la table. c'est étrange mais son comportement d'enfant pourris gâté me fais sourire, elle est ma sœur après tout, je l'aime comme elle est, et puis elle donne un peu de mouvement a ma vie un peu longue et monotone, comme je lui apporte le minimum de retenu et de bon sens qu'il faut.
Telle le Yin et le Yang, aucune des deux ne pourrais subsister sans l'autre
HISTOIRE
POV Miyu
Spoiler:
Le liquide encore chaud rependu sur la table, Miyu se relevait comme de rien, son appétit n'étant jamais vraiment présent au réveil, se priver du repas ne la gênait en rien. Attrapant la boulette de riz que son géniteur lui tendait machinalement tandis qu'elle rejoignant la sortie, la jeune fille aspirait déjà à la fin de la journée. Son réveil allait cependant très vite être mis sur pied, car ici le matin commençait très tôt et pour cause, l'emploi du temps était chargé. Laissant les autres à leur repas, la Yuki ne sachant pas tenir en place, posait son encas précédemment attrapé dans un coin, de là commencer son moment favori, celui où elle se déchaînait. Sa victime n'était rien d'autre que le pauvre mannequin d'entraînement de l'arrière cour, à peine quelques étirements qu'elle était déjà là à le ruer de coups, le détruisant de part en part par le biais de sa lame aiguisée.
« Ahhh non, Miyu-sama! Je l'ai changé hier ! » L'air mauvais, la princesse fixait son confrère mécontent, ce dernier sous un soupir s'éloignait, que pouvait-il faire d'autre, au fond...
Quelques minutes de plus et son attente se finissait, un rire reconnaissable la rejoignait, voilà son père mit de bonne humeur, un bref regard aux alentours, Fubuki n'était plus très loin, l'entraînement familial du matin était une tradition ici. Et si l'une s'en ravissait, le moyen pour elle de mieux pouvoir se défouler, l'autre plus calme, s'en serait sûrement passé, Miyu s'amusait de cette situation, c'était assez sadiquement qu'elle appelait sa soeur, pour être sûre qu'elle ne soit pas épargné de la corvée. Un rire associé à un sourire mesquin, elle remuait déjà son katana en fixant son géniteur, seul véritable lien que la jeune fille avait dans sa vie, hormis sa soeur. Un homme d'une belle carrure, fière et droit, souvent sévère, même Miyu avec qui il était relativement coulant gardait cette impression, mais si certes elle le craignait, cela ne l'empêchait pas de n'en faire qu'à sa tête...
« Pose ce katana et prend un bokken* (sabre en bois*). »
Non, il n'avait visiblement pas l'intention d'attendre que Fubuki se met en place, voilà longtemps que la vie évoluait ainsi dans cette maison, le père avait clairement établie sa préférence. Pourtant, il n'en avait pas toujours été ainsi, un peu gêné de cette situation Miyu évitait sa soeur pour prendre part à l'entraînement qui l'attendait. Déterminée, elle assaillait de coups, jonglant entre assauts, ripostes et esquive face à son mentor. Concentrée, non, cela elle ne l'était pas, car si rien ne laissait paraître à la voir ainsi plonger dans sa bataille, la soeur qu'elle était s'interrogé toujours sur le comment ils en étaient arrivés là, ainsi que sa légitimé dans cette place. Parfois la colère montait et les coups devenaient puissants et sa présence acharnée, ce qu'on croyait passion n'était peut-être qu'en fait que rage. Quand l'épuisement frappait à sa porte, la réalité en faisait autant, essoufflée, elle constatait le visage satisfait d'un père qui se sentait assurer, face à une fille si combative. Pauvre fou, s'il savait...
Étrange sentiment qui était sien alors, mitigé entre fierté et honte, la première chose qu'elle cherchait, le regard de sa double, là elle s'y perdait un instant, la seule façon pour elle de ne pas manquer d'air. Le regard n'était pas tendre, Miyu la fixait d'un visage fermé, semblant vouloir joncher l'âme de Fubuki, un regard coléreux, mais cette vraie colère, était sienne et non adressée à sa jumelle. Bien souvent, Miyu se contredisait d'elle-même, une main sur son épaule lui faisait tourner la tête, de là elle affichait un sourire joyeux à son père, mais n'était-ce pas l'inverse qu'elle aurait voulu faire. Et celui-ci disparaissait avant même que son esprit ne sache remettre ses idées en place, la confusion, chaque jour, voilà ce qui berçait son existence depuis peu. Jetant son outil d'entraînement, la jeune Yuki rejoignait sa jumelle en silence, attrapant sa boulette de riz tout près, elle croquait dedans en observant cette dernière.
Fubuki lui donnait la sensation de regarder un lapin, elle se l'imaginait bien dans sa tête, avec de grandes oreilles s'alliant bien avec son air niais, le tout la faisant rire forcément, elle s'accroupissait devant elle, nostalgique de leurs jours d'enfance. Dix ans plus tôt, elles seraient revenue main dans la main à cette place, le moindre de leurs gestes applaudi par un papa gâteau face aux deux femmes de sa vie. Si la mort de sa femme l'avait adouci à leur naissance, leur passage progressif vers l'âge adulte lui faisait reprendre du poil de la bête, malheureusement, cela touchait bien plus l'une d'entre elles...
« Tu fais quoi ?... » Marmonnait-elle à Fubuki dans le but d'engager la conversation.
Extrait de la présentation de Miyu Yuki
POV Fubuki
Spoiler:
Elle as finie par sortir, évidement, impulsive, passionnée. Père n’eus que le temps de lui tendre une boulette de riz histoire de s'assurer qu'elle ai quelque chose pour se remplir l'estomac et il la laissa partir sans un mots, simplement, la reine de la famille. Mon patriarche tourna son regard vers moi et je compris immédiatement qu'il voulais que je nettoie, je n'était bonne qu'a ça pour lui, assumer le rôle de ménagère a la place de mère, mère dont je n'avais jamais eu l'honneur de voir le visage.
père se leva et partis a la suite de Miyu alors que je me mis a la tâche, sans vraiment la moindre haine ou aversion a être traitée en boniche. C'était mon rôle et si cela pouvait être utile a la famille Yuki, alors je le faisait avec plaisir. Une fois tout remis en ordre, je repartis dans la chambre chercher mon Wakizashi puis rejoindre l'arrière cour ou mon père et ma sœur s’entrainaient. En effet, je devais toujours être non loin, a disposition. J'arriva dans la dite cour et me mise dans mon coin habituel, a savoir a genou sur le palier et entrepris l'entretien de ma lame. Posséder une lame était une tradition dans le clan Yuki, une obligation, un devoir. c'était d’ailleurs une tradition dans nombre de famille noble de Kiri, mais moi je prenais un soin tout particulier de ma lame.
Je démonta doucement la lame et la pausa sur le côté le temps d’étudier la Tsuka (poignée) pour voir si elle était abimé. Le ito (tressage) était un peu desserrer et je s’empressa de régler le problème avent de reposer délicatement la tsuka non loin de la lame pour la prendre délicatement entre mes doigts dans un ballet de mouvement ritualisé au millimètre. Je commença a la nettoyer en retirant l'huile usager grâce a l'uchiko et un chiffon propre puis passa une nouvelle couche d'huile dessus. je remonta le tout tranquillement et étudia de nouveaux la lame. Pas une trace ou une saleté ne vain troubler la luisance de cette lame forgée par un des meilleur armurier de Kiri, une magnifique Yahazu hamon comme seul les maitres artisan du village de la brume savent en faire.
Je rengaina ma lame et observa ma sœur d’acharnée sur notre père ... je lisais la violence de ses émotions dans sa gestuelle. Elle n'était pas galvanisée, non, elle était en colère, troublée, moi aussi du coup, je ne l'avais que rarement vue comme cela et je ne m'était jamais vraiment posée la question de savoir pourquoi, mais je connaissait bien ma moitié, si un jours elle en ressentirait le besoin, elle viendrait d'elle même m'en parler. Ma jumelle me lança un regard froid, lourd, si lourd. c'était sur, quelque chose se passait dans la tête de Miyu, ma sœur avait quelque chose sur le cœur, mais je ne tenait pas rigueur de ce genre de regard, je ne tenait d’ailleurs jamais rigueur de rien, tout glissait sur moi tell de l'eau lorsqu'il s’agissait de ma copie. Celle-ci s'approcha d’ailleurs de moi en mangeant sa boulette de riz et s’accroupit devant moi.
Tu fais quoi ?...
Je leva les yeux vers elle et lui lança un sourire radieux avent de répondre des plus simplement.
Je viens de finir de Nettoyer mon Sabre, veux tu que je m'occupe du tien ?
Je demandais cela très naturellement. Un sabre et un objet des plus personnel, normalement totalement interdit que quiconque d'autre que son propriétaire pose la main dessus, mais Miyu et moi étions vraiment des personnes si différentes ? Pour moi non, elle était une partie de moi tout comme j'étais une partie d'elle.
Tu te souvient du jours ou nous avons reçu nos Sabres ? ... ça remonte si loin .. aussi loin que ma mémoire remonte peu être même ...
Pourquoi lui ais-je poser cette question ? Parce que je suis nostalgique au fond, nostalgique de cette époque ou nous étions toutes deux sur un pied d’égalité au seins de la famille...
POV Miyu
Spoiler:
Fubuki nettoyait sa lame, précieusement comme toujours, Miyu n'avait pas ce côté soigneux de sa sœur, quand la lame lui semblait « mauvaise », elle la jetait sur la pile des réparations, un point c'est tout. Forcément son sourcil se relevait quand sa moitié lui évoquait le souvenir de l'acquisition de leurs armes, la seule chose que celle entre ses mains avait de plus que toutes les autres de sa collection, était encore qu'elle était la lame jumelle de celle de Fubuki. Se rappelant finalement une petite attache à ce morceau de métal, Miyu la tendait à sa sœur, pour répondre à la proposition de cette dernière.
« Si je m'en souviens... Non, mais c'est pas comme-ci je perdais du temps à penser à ce genre de chose... »
Vile menteuse, il n'y avait pas un instant, elle en avait pourtant la nostalgie de cette époque. Cependant, on lui avait répété si souvent que ce genre de sentiments n'étaient que faiblesses, amère, elle fixait sa sœur, devait-elle vraiment jouer cette divine comédie avec sa jumelle. Encore, si elles étaient seules, mais ici, ce n'était jamais vraiment le cas, croquant à nouveau dans son met, Miyu rattrapait son attitude infect en lui tendant la boulette de riz...
« Pourquoi tu me demandes ça ? Tu t'en rappelles toi... » Le visage souriant, elle agitait son encas sous le nez de sa sœur... « T'en veux ?... Moi je te propose plutôt de te souvenir de nos jeux d'enfances ! »
A cela, bien entendu, elle ne faisait allusion qu'aux entraînements, Miyu était comme conditionné pour le combat et cela avait commencé très tôt, si bien, que c'était devenu plus un plaisir qu'une corvée avec le temps... Ses seules occupations, aussi loin qu'elle s'en souvienne été cela, l’apprentissage de l'art du combat. Sa préférence se tenait pour ceux qui étaient physiques, cependant, sachant que sa sœur quant à elle était plus cérébrale, la Yuki tentait de s'adapter à sa moitié. Seulement voilà, la simple question de sa sœur avait soulevé des interrogations dans son esprit, pourquoi, soudainement, elle lui parlait de ça.
La vision d'un souvenir flou lui revenait, jour d'anniversaire, jour joyeux, alors pourquoi refusait-elle d'y repenser, Miyu revoyait le visage de sa sœur joyeuse, ainsi que l'expression de leur père, son air froid remplacé par un air fier et celui-ci posait sur les deux reflets Yuki. C'était donc ça, Fubuki et elle étaient vraiment sur la même longueur d'ondes, avaient-elles eu la même pointe au cœur au même moment. Un air soudainement sérieux, notre Yuki se redressait, sans ménagement, elle frappait du plat de son pied le malheureux vase à ses côtés. Violente et colérique, le temps l'avait bien changé, dire qu'à la base, les petites filles étaient si identiques que ni leur physique, ni leur personnalité ne les différenciaient.
Alors pourquoi l'une avait évoluée dans la douceur et l'autre dans la violence, se marquait dans son esprit le jour qui avait décidé de les départager le jour maudis où ses lames leur avaient été posé sous le nez, le jour où ce qui n'était censé n'être qu'un jeu avait marqué leur place ici. Tournant le dos à Fubuki pour fixer l'horizon, Miyu marmonnait quelques mots dans un soudain calme olympien revenu...
« Tu parles bien du jour où les choses ont changées ? N'est-ce pas ? »
Extrait de la présentation de Miyu Yuki
POV Fubuki
Spoiler:
Miyu me tendis son sabre en guise de réponse. C'était tout elle ça, agir plutôt que de parler. Je saisis délicatement la lame de ma sœur, tout aussi sœur que ma propre lame, je commença a effectué les même rituelles que sur la mienne avec celle de Miyu. La sienne avais plutôt souffère, j’entrepris alors de la réaffuté tout en écoutant les paroles de ma jumelle.
Si je m'en souviens... Non, mais c'est pas comme-ci je perdais du temps à penser à ce genre de chose...
Froide et tranchante comme la glace, mais on ne pouvais pas cacher ses sentiments bien longtemps a quelqu'un qui nous connais si bien que sa propre sœur. Je lâcha un sourir amuser a la lame, a défaut de pouvoir la quitter des yeux et l'offrir a Miyu, ça aurais été dommage que je me coupe non ? J'étudia de nouveaux la lame et nota satisfaite qu'elle allais beaucoup mieux, j'avais toujours été très habille pour ce genre de chose. Je la re huila et la rendit a ma moitié après avoir resserrer le Ito du tsuka, on voyais bien que ce sabre servait beaucoup.
Pourquoi tu me demandes ça ? Tu t'en rappelles toi... Me lança t'elle sur un ton a peine plus aimable.
Oui, bien évidement que je m'en rappelle, ce jours si heureux qui avait quasiment tourner au drame, ce jours ou nous avions reçu nos sabres respectifs et ou tout avais changer. Je me souvient avoir vue le visage de mon père poser un ultime sourire sur moi avent de s'affermir pour de mon sur mon cas et de donner l'instruction qui m'avais couté son affection et bien plus encore. Il avais confronté les deux sœur innocentes et naïves que nous étions ...
T'en veux ?... Moi je te propose plutôt de te souvenir de nos jeux d'enfances !
Elle me tendis sa boulette de riz et je refusa poliment je me releva a sa hauteur, égalité parfaite de stature, tel son reflet dans un miroir je me tenais face a elle, la dévisageant d'un regard doux et serin qui me caractérisait tant. Nos Jeux d'enfance .. ils avaient commencer ce jours la, la première fois ou père m'avais pousser a me battre contre ma sœur, au premier sang. Ce jours là je fût terrifier, je n'avais pas compris, j'avais même protestée un court moment avent de me retrouvée pour la première fois écrasée par la prestance de père. J'avais donc attaquée, je m'était battue, sans cœur ni envie, révulsée par le fais de porté des coup a ma moitié. Cela, mon père l'avait vue, il avait vue mon manque de hargne, mon dégout total pour la violence, mon incapacité a porté atteinte a la sente de ma sœur en risquant de la blesser. Je n'avais alors pas été assez prudente, la lame de ma jumelle passa ma garde et mon bras s'était retrouvé marquée d'une profonde entaille sanglante tachant mon Kimono blanc. C'était notre anniversaire, un jours de joie et de rire .... la première fois que je vis mon sang, la première fois que les larmes inondèrent mon visage enjoué.
Est ce que ma sœur avait comprise le mal que ces "jeu" me fessaient a l’époque ? Sans doute pas, nous étions si jeune ... et depuis ? l'a t'elle comprise ? Peu être, peu être pas.
Tu parles bien du jour où les choses ont changées ? N'est-ce pas ?
Oui, ce jours même ...
Elle me tournait le dos, cette attitude sérieuse, peu être l'avais t'elle comprise finalement. Cela me faisait plus de mal qu'autre chose de voir ma sœur si .. différente, par ma faute. Moi aussi je comprenais que tout ceci puisse la travailler. Il fallait qu'elle se vide l’esprit, qu'elle se change les idée. J'avança d'un pas vers elle et pausa délicatement ma main sur son épaule en lui offrant un magnifique sourire.
Veux tu jouer avec moi nee-sama ?
Je pausa ma main sur le Tsuka de mon Wakizashi a ma ceinture comme pour affirmer a quel jeu je lui proposait de jouer, même si je savais qu'elle le comprenais parfaitement. Cette fois-ci cependant il y avais une légère différence, je n'était pas malheureuse a l'idée d'affrontée Miyu, si je le faisait c'était pour lui faire du bien et parce que le combat reste au fond une forme de communication des plus complète. J'avais toujours put lire dans le cœur de ma jumelle en croisant le fer avec elle, cette passe d'arme me permettrais peu être d'aller plus loin dans ses penser, ses traquas et comprendre comment elle avais vécu ces événements passé.
POV Miyu
Spoiler:
Bien sûr qu'elle l'aurait comprise, Fubuki était comme ça, à penser à Miyu avant même de penser à elle-même et bien que consciente de cela, sa sœur ne se gênait pas de profiter de sa générosité, cet égoïsme qui était sien depuis si longtemps était maintenant naturel. Un simple geste vers son arme, le message était passé, Miyu n'en avait jamais assez, c'était seulement qu'elle se sentait vider de toutes forces que son esprit s’apaisait, elle ne pensait plus à rien, sa sérénité à elle ou bien sa fuite favorite qu'importe. Elle savait l'enfant reine de cette famille, les efforts qu'au quotidien faisait sa seconde, qui n'avait cette place que parce Miyu avait l'autre, ne se faisant pas prier le jeu pouvait commencer, enfin jeu, voilà qui était un bien grand mot...
Les attaques s'échangeaient, mais rien à voir avec la première scène qui l'avait opposé à son père, celle-ci montrait un ballet parfaitement coordonner entre deux reflets. On aurait jurer qu'elles dansaient, connaissant par cœur les pas de l'autre, oui c'était bien un échange réel, une conversation muette de parole sorti de la bouche, mais riche des sentiments du cœur. Selon la puissance des coups la façon dont ils étaient donnée, Fubuki et Miyu lisaient en elles, comme on déchiffrait les mots d'un livre. Une véritable bouffée d'air pour notre Yuki, qui se sentait épauler, Fubuki lui donnait le sentiment d'être aimé pour ce qu'elle était, bonne ou mauvaise, la seule personne en ce monde qui accepterait ses échecs et ses défauts quoi qu'il arrive. Ainsi elle se stoppait soudainement en plein affrontement pour lâcher un petit rire accompagnant son visage enjoué. Son souffle repris, elle laissait glisser discrètement un petit « merci » pour sa sœur, lui confiant sa lame entre les mains. Un air espiègle, elle empruntait de façon fourbe la lame jumelle de Fubuki, avant de détaler à toute vitesse vers la sortie.
« Eh eh, Je vais aller tester ta lame sur le premier bougre qui barrera mon chemin ! Viens Fubuki, allons chercher la bagarre en ville ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle partait droit devant suivi de près par sa frangine, qui allait comme toujours avoir du pain sur la planche pour rattraper les coups foireux de sa soeur, enfin bon question d'habitude ici, la routine...
Extrait de la présentation de Miyu Yuki
Dernière édition par Fubuki Yuki le Ven 25 Jan - 2:40, édité 1 fois
Fubuki Yuki Membre
Messages : 5 Date d'inscription : 22/01/2013
Dossier Shinobi Niveau de puissance: D Grade: Genin
Sujet: Re: Effet Miroir ¤ Miyu ¤ Fubuki ¤ Côté claire Fubuki Yuki [Fini] Ven 25 Jan - 2:39
Prez. Fini =3
Merci de passer voir la Prez de Miyu Yuki aussi avec qui j'ai conjointement fais cette présentation =3
Bonne lecture =)
Tairiku No Sanzoku 将軍 Le Shogun 将軍
Messages : 166 Date d'inscription : 12/12/2012
Dossier Shinobi Niveau de puissance: S Grade: Oyabun du clan Ryu
Sujet: Re: Effet Miroir ¤ Miyu ¤ Fubuki ¤ Côté claire Fubuki Yuki [Fini] Ven 25 Jan - 23:40
La présentation est plutôt originale dans sa forme, ce qui est un bon point. J'aime beaucoup la forme de l'histoire, en rp, qu'on ne vois que très peu. Attention cependant aux fautes d'orthographe qui sont fréquente, pense à passer ton texte sur bonpatron (par exemple). Les description ne sont pas très longue mais pour un tel niveau et un personnage de 14 cela se comprend.
Validé.
Senju Tenshirama Administrateur
Messages : 90 Date d'inscription : 12/12/2012
Dossier Shinobi Niveau de puissance: S Grade: Yondaime Hokage
Sujet: Re: Effet Miroir ¤ Miyu ¤ Fubuki ¤ Côté claire Fubuki Yuki [Fini] Dim 3 Mar - 14:59
En raison de l'inactivité du personnage et de l'utilisateur, cette fiche est déplacée dans les inactives. Le personnage se voit perdre également son groupe. Pour toute demande de réaffectation, merci de contacter le staff