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 Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]

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Rui Kiiro
Membre
Rui Kiiro


Messages : 6
Date d'inscription : 27/12/2012

Dossier Shinobi
Niveau de puissance: A
Grade: Lame Écarlate

Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] Empty
MessageSujet: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptyVen 28 Déc - 0:46

❝ RUI KIIRO
Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] Imagee10


❝ IDENTITÉ


NOM & PRENOM : Kiiro Rui
AGE : 22 hivers
VILLAGE : Suna
RANG : Membre des Lames Ecarlates
NIVEAU DE PUISSANCE : A
SPÉCIALITÉS :
ÉQUIPEMENT : Une épée, toujours a son flanc.




❝ CARACTÈRE DU PERSONNAGE

Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 10010010Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 10010011Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 10010012

Souffrance, Souffrance, puis plus rien.

Le coeur de Rui Kiiro n'est qu'un amas de sang et de chaire. Rien de plus et rien d'autre. Elle n'a d'amour pour rien, pas même pour elle-même. Elle n'a plus peur depuis longtemps et ne désir plus non plus. Elle caresse le temps s'en se rendre compte qu'il passe et n'est plus ce qu'il était et que jamais il ne sera ce qu'il aurait dû être. Pourtant, elle souffre. De ce manque de sentiment, de sensation, elle souffre au fond de son âme, de son esprit. Une douleur tenace qui la tiraille et la démange.« Mm Arrache moi le coeur ... » Prit-elle alors.

Cruelle, superficielle et terriblement maligne.

Lorsque la nymphe du désert s'ennuie, ce qui arrive très souvent, elle se prend à créer des jeux dont seule elle connait les règles et les enjeux. Impitoyable, la Fée n'hésite pas à mettre la vie des autres en danger pour s'amuser. Elle met toutefois aussi sa propre vie en joute et elle se retrouve régulièrement à l'hôpital à cause de ses manies presque masochiste. Frivole et futile, elle se complaît dans un esthétisme et dans un luxe certain. Ses jeux, tout comme elle, ne vole parfois pas bien haut. Qu'il s'agisse de voler un baisé à l'un des membres de son équipe ou de voler la broche d'un autre, elle aime les jeux idiot et prend les autres pour des jouets et non pour des joueurs. Pourtant, la dame possède un esprit qui n'a rien à envier au plus grand stratège du pays. D'une ruse troublante, ces jeux peuvent s'avérer être bien plus complexe qu'un simple larcin au sein du village. Et, pour elle, la fin justifie les moyens et souvent : sa faim de jeu les justifies pleinement.

Libertine et sensuel.

Son gout du jeu n'a d'égal que son goût du sexe. Bien que, la jeune femme prennes souvent les deux pour un seul et même traits de sa personnalité. Le sens commun de libertin lui correspond parfaitement. Mais dans le mot « libertin » il n'y a pas que cela. Rui est 'libéré' de tout sens des moeurs et des concepts humains. La séduction fait partie de ses plus grands jeux et la jeune femme se lasse très vite d'un jeu conquis qui ne lui offre pas d'autres défis intéressant. Et la dame peut se le permettre. On dit souvent que le physique ne suffit pas à rendre une personne belle. Rui l'a très bien compris. Elle n'est pas seulement belle, elle est charismatique et sexy. Tout en elle suppure la sensualité. Elle appelle aux pratiques charnelles par sa seule présence.

Obéissante mais, dénué de sens moral.

L'obéissance est un terme bien trop 'petit' pour qualifier la jeune femme. Elle n'est pas 'obéissante' au sens stricte du terme. Son allégeance n'est que pour une seule et même personne. Pas parce que celle-ci est hiérarchiquement placé au-dessus d'elle, mais simplement parce qu'elle en a envie. Cela fait peut être même partie de l'un de ses jeux. Qui sait. Et, Rui obéit à sa reine avec toute la rigueur d'un bienheureux. Elle lui obéit aux doigts et à l'oeil et suit à la lettre ses moindres mots. Ce qui parfois lui cause quelques maux. Par amusement sans doute, Rui ne fait que ce qu'on lui demande et seulement ce qu'on lui demande. Les exemples sont divers et surtout nombreux: on lui demande d'aller chercher un objet. Elle le fait, sans aucune délicatesse et sans nul soucie de l'équipe qui lui a été assigné. Les laissant même mourir si ses derniers la gênent dans sa quête. C'est sans doute la meilleure preuve que la dame manque cruellement de sens éthique. Elle se fout pas mal de l'avis des autres ou de leurs vies.

Sauvage et Imprévisible.

Le fauve blanc porte en elle toute la sauvagerie et la bestialité d'une panthère affamer. Imprévisible, la demoiselle passe rapidement de son coté bestial à son coté humain. Par caprice ou par envie elle ne deigne jamais faire se que l'on attend d'elle. Sauvage, la fille a un charisme animal. La chaleur qu'elle dégage semble venir directement du plus profond de son coeur. tactile, la bête aime touché parfois même un peu trop. Lorsqu'elle sourit, on la trouve sans doute mignonne. Mais la fille ne sourit que rarement simplement. Son sourire carnassier frôle la déraison et piétine les bandes de toutes logiques.



❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE

Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 510Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 610Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] 410

« Belle, c'est un mot qu'on dirait inventé pour
Elle, quand elle danse et qu'elle met son corps à jour
Tel, un oiseau qui étend ses ailes pour s'envoler
Alors je sens l'Enfer s'ouvrir sous mes pieds »


L'eau ruisselle sur son corps. Elle soupire, sa voix suave résonne dans la pièce close, brisant les crépitements de l'eau qui tombe sur sa peau opaline. Désirable, la criminelle, bien souvent fille de joie, semble portait en elle toute la gloire du genre humain. Ses hanches fines et ses fesses rondes et musclé monte un entretien physique digne de son rang. Son dos, légèrement cambré, ne montre nullement les os de ses cotes. Pas ronde, mais quelque peu en chaire, la fille sait aussi qu'il ne faut pas être trop musclé dans les jeux qu'elle mène. Ses seins hauts d'une taille non extravagante semble pouvoir souligner un joli dévolté si besoin s'en ressentait. Elle gémit encore et cette fois, elle ouvre les yeux, observant au-dessus d'elle le pommeau de douche qui pleure en sa direction. Elle lève ses petites mains, attrapant son épaisse chevelure neige d'un geste fluide. Elle soulève celle-ci, puis la lâche, la laissant claquer sur son dos nu, presque jusqu'au bas de ses fesses. Ses cheveux brillent, même malgré l'eau qui ruisselle sur ses derniers. Elle soupire, entrouvrant ses lèvres fines et rosé. Son nez fin laisse encore coulé quelque goutte d'eau sur sa bouche et ses petites narines frétillent lorsque soupire. Ses yeux pleurent. Des yeux d'une couleur bleu acier. Azuré, terriblement tranchante. Ethéré.

Alors, la femme arrête tout. Elle arrête son « cinéma » et sort de l'eau d'un pas de félin. Elle marche du bout des pattes sur le sol, comme elle le fait toujours, caressant au passage les murs qui la protègent du monde extérieur. Elle passe dans l'autre pièce. Nue, elle retrouve la solitude de sa chambre et ouvre d'un geste lent et délicat la penderie qui protège ses vêtements. Elle rit alors, en observant les divers vêtements qu'elle pourrait porter. Mais la journée promettait d'être calme, alors elle ne choisirait aucun de ses vêtements de frivolité dont les couleurs vives et le peu de tissus appelé à des actes qui n'étaient pas consentit pour la journée. Non, aujourd'hui, elle devait se vêtir comme un ninja. Du moins, de la manière la plus neutre et la plus souple possible pour elle. Ca garde robe lui permit dont d'attraper un kimono ample de couleur jais dont la doublure blanche était couverte de couture d'or. Dans son dos, une épée écarlate était brodée au-dessus d'une rose d'or. Son symbole, ainsi que celui de sa reine. La dame soupira, revêtant ses vêtements et s'observant dans le miroir. Elle se sourit. Aimant l'image qu'elle renvoyait. Aimant ses cheveux neige et ses yeux acier. Elle aimait son image et elle aimait surtout en profiter.


❝ HISTOIRE DU PERSONNAGE

Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] Entate10

Booom
Son coeur s'irrite, s'éclate. Son coeur ce fend, se fissure. Les miettes de son humanité se dispersent dans son corps. Si petites si infimes qu'elles en sont presque inexistante. Dans un univers réduit à une geôle de fer sombre et sanglante, le cadavre remuait. Son odeur pestilentiel se distillait dans l'air jusqu'au nez du shinobi accroupit non loin. Il passa ses doigts sur son visage, tirant sur le masque de tissus sombres de son visage. Il soupira, observant de ces yeux vert foret la jeune femme dans sa cage.
Booom
Son coeur cognait dans sa poitrine à en lui faire souffrir. Elle gémit, elle tenta de reculer plus loin mais, les barreaux de sa cage l'en empêchaient. Elle gémit, semblant vouloir disparaître. Le Shinobi comprenait. Si sa vie n'avait été réduite qu'à cette boire de fer noir et à cette cellule de pierre et de souffrance alors, il était sans doute normal d'avoir peur d'un homme. Avait elle vut beaucoup de gens ici ? Sans doute pas. Le Shinobi soupira, s'approchant de la boite de la jeune femme. - « Chuuu, souffla-t-il, reste calme. Je ne suis pas là pour te faire du mal. »Elle gémit encore, tournant ses yeux bleus aciers vers le jeune homme. Elle l'observa et doucement, elle approcha. Le Shinobi resta à distance de la boite mais, finit par s'approcher.
L’enfant grogna, il se figea a la contemplation de l’animal. Elle semblait apeuré. Avait elle mal ?

    Caprice, caprice, que fais tu là ? Calice, Calice, laisse-moi boire tes maux. Laisse-moi vivre ma vie, laisse-moi comprendre la tienne. Ah mais, non. Mais non. Je me fiche de ta vie, je me fiche de la mienne. Ah mais, oui mais, oui! Je me moque de tout. Je me moque de tous. Je glousse, tu ne comprens pas. Je m'approche, tu restes là. Je t'observe, tu me dévisages. Je grogne. Tu ne bouges pas. Je passe ma langue sur mes lèvres. Tu souffles. Tu me parles, je ne comprends pas tes mots. Mais je t'écoute.
    - « Ne t'inquiète pas. Tout iras mieux bientôt.
    Que voulait il ? Il se redressa, passant ses doigts sur la cage, il défait d'un geste brutal le cadenas de ma cage et s'éloigne en douceur jeta l'objet de fer.
    - Tu es libre maintenant. »
    Je ne comprends pas. Je ne sais pas. La cage s'ouvre, doucement, la porte s'ouvre. Que dois-je faire ? Que dois-je grogner ? L'autre disparaît en silence. Que dois-je faire ? N'y a-t-il personne de l'autre coté pour me prendre et m'attacher ? N'y a-t-il personne pour me prendre et me torturer? Je gémis, j'appelle à l'aide, mais rien ne viens, rien ne me sort de là de force. Je gémis. Mais toujours rien.
    Alors, je me décide. Je sors doucement, mes genoux sanglant frôle le sol. Je tache le béton gris et je gémis encore. Cette fois, je me lève, seul, sans avoir besoin de l'aide de personne. Je me lève, seul, sans avoir besoin de la torture de personne. Le saviez vous ? Ca fait mal de se lever. Ca fait mal de poser les pieds sur le sol. Ca fait si mal d'être seul. Mais. Ca fait temps de bien aussi. Tellement, tellement de bien.


Lorsque la créature sortit de sa cage, à demi voutée. Elle sembla ne pas comprendre le sens de sa libération. Elle ne comprit pas non plus pourquoi elle était là et elle ne comprenait pas non plus ce qu'elle devait faire.
Elle restait donc passive, sans bouger, observant devant elle la lourde porte de bois qui barrait encore son chemin. Lorsque, soudain, entrant dans la pièce, un homme se figea. Stupéfait de la voir debout, si frêle et si fragiles, alors qu'il était sur d'avoir correctement fermé sa cage.

L’animal grogna. L’homme se raidit.
L’animal comprit. L’homme saigna.

Lorsque la bête sauvage sauta sur l'homme devant elle, elle lui déchira la gorge, griffant de ses longs ongles la peau du visage de l'homme. Elle déchira son corps, tentant de recoudre sa propre âme. Elle ne lui laissa nullement le temps de réagir, ou même le temps de souffrir. Mais ce qu'elle fit du cadavre sembla être bien plus salle que ce que l'autre aurait pu faire d'elle.
Sembla seulement, parce que, nul doute que la bête avait dû bien plus souffrir.

Pour toutes les fois où ses doigts prirent des armes pour lui déchirer la peau : elle lui brisa les doigts, arrachant ses ongles propres. Elle arracha la peau de ses doigts le dépeçant jusqu'aux coudes. La créature gémit. Elle frémit.
Pour toutes les fois où son phallus pénétra son corps de force; elle lui arracha, à l'aide des dents, la partis la plus intime de l'anatomie des hommes. La plus précieuse. Elle cracha. Elle gloussa.
Et surtout: elle continua sa torture sur le cadavre de l'homme.

Méconnaissable, au bout de quelques petites minutes, la bestiole qu'il avait engendré l'avait rendu méconnaissable. Elle gloussa encore, couverte du sang de l'homme. Et enfin, elle sortit de son enfer, découvrant un monde dont elle n'avait pas souvenir. Elle découvrit un long couloir de pierre froide et une lumière au bout du tunnel. L'espoir. Elle suivi la chaleur, la lueur et lentement, elle grimpa les marches de sa libération. Elle grimpa lentement, tellement lentement qu'elle en dégusta chaque instant. Chaque espoir qui avait été piétiné se réveiller soudain. Elle gémit, elle grogna et lorsqu'elle parvint à la dernière marche, elle s'arrêta. Effrayé du monde extérieur. La créature jappa. Tel un loup apeurait. Mais, elle savait aussi qu'il ne servait à rien de rester là. - Je veux vivre! - elle savait pertinemment que le monde ne s'ouvrirait pas seul. Alors, elle poussa du bout du doigt la porte de bois qui la mènerait vers une nouvelle vie.

L'éclat de la lumière extérieure l'aveugla. Trop habitué aux endroits sombre, ses yeux mirent un moment à s'habituer à la clarté - douloureuse clarté - du paradis qui s'offrait. Elle resta sans bouger. Mais lorsque les murmures interpellèrent son oreille, elle bougea. Elle fit un pas, toujours peux habitué à la lumière. Elle ne comprit pas les mots, mais..
.- « Ah mais ... C'est ... C'est cette chose là. La créature du Maitre ... Qu'es se qu'elle fait là ...
Lentement, la chose se fit à la lumière. Elle comprit, elle vit, elle déglutit. Tous ces gens. Tous ces êtres vivant étrange dont le corps était drapé de tissus coloré. La créature ne comprit pas, mais ses deux jambes la portaient et elle grogna. La peur peut être, la peur la fit agir. A la vitesse d'un fauve, la panthère albinos frappa. Écrasant ses mains griffu sur la première cible qui lui fit face. La pauvre femme hurla et la nuit s'enchaîna.

Le feu prit tout. Toute vie succomba à l'orage de désespoir et d'envie sadique de l'animal. Le feu acheva les quelques personnes qui étaient incapables de se battre ou de bouger et la belle ne laissa personne sortir ou survivre. Elle fut aidée dans sa tache: un groupe de ninja venu de loin - si mignon - pour massacrer le clan. L'un avait été envoyé en éclaireur et avait libéré l'animal. Il n'aurait sans doute pas pensé qu'elle aille si loin mais peux lui importait. Elle leur avait été fort utile.
Ne méritait-elle pas une récompense?

Dans les flammes, l'albinos regardait le ciel au-dessus de sa tête. Les milles et une étoile du ciel la fasciner - si belle, si proche - mais la symphonie des cris et des hurlements avait facilité la tache des shinobis. Un véritable chaos se mêlait au sang et à la puanteur de la mort. Les Sunajins n'étaient pas près pour ça mais, l'homme aux yeux jade lui avait comprit jusqu'où pouvait aller la créature. La frêle créature...

Alors, aider par la bête, faisant attention à ne jamais être sur son chemin, les ninjas de Suna achevèrent une à une les personnes du manoir. Le massacre fut complet seulement lorsque la maison commença à s'effondrer sur elle-même et qu'il devient presque dangereux de rester à l'intérieur. Il ne restait plus un seul humain.
La seule âme vivante qui restée c'était elle. L'animal blanc, à présent couverte d'hémoglobine, lui donnant une couleur vermeille, restait pourtant à l'intérieur. Comme prête à mourir enfin, admirant pour la première fois le scintillement de la voûte céleste.
Le Sunajin approcha. Il regardait la jeune femme qui ne semblait nullement effrayer par la mort et les flammes autour d'elle. Elle était splendide, c'est long cheveux blanc sale collé par le sang, son visage creusé dont les grands yeux gris bleuté l'envoûtaient à proprement parlé. Il fondit, tombant à genoux devant elle. Il l'admira encore. Elle qui semblait avoir eu temps de douleur. Elle qui semblait avoir eu si mal. Elle possédait pourtant une aura si innocente, comme une lame, souillé. Si belle et si tranchante. L'homme soupira, il baissa les yeux sur les mains de l'enfant, couverte de sang. Elle gémit, il redressa la tête, elle semblait sourire, comme si maintenant plus rien n'avait plus d'importance, comme si elle n'avait jamais existée jusqu'à maintenant. L'homme leva lentement la main, posant cette dernière sur la joue de la panthère et caressant sa peau blanche taché. Elle se laissa faire, un sourire animal sur le visage. Cette chaleur qu'elle dégageait était plus infernal que la braise pour le valeureux Ninja qui ne comprenait nullement cette attachement pour la créature. Il soupira à nouveau:
- Allez viens. On part pour Suna. » Fit il enfant, prenant la chose dans ses bras, tendrement, avec délicatesse.

*
* *


- « Rui ? Rui ? Qu'es se que fait?
Le jeune homme se redressa dans son lit. Il huma la chaleur charnel des lieux, une odeur de foutre et d'amour se dégageait de l'ambiance. Il s'invita à sourire de la situation. Elle tourna les yeux vers lui et il put enfin contempler la chute de rein splendide de sa protéger. Il l'observa, elle lui sourit dégageant ses cheveux de son visage, dégageant par la même occasion la splendide poitrine qui était sienne.
Elle avait bien évolué depuis la première fois où il l'avait vu nue. Elle était devenue femme et son corps avait rapidement rattrapé le retard. Ses courbes fluettes méritaient pourtant encore un peu d'attention et de médecine. Elle se brisait facilement et malheureusement il n'y avait que peu de remède contre ça. Alors, le sunajin faisait très attention à elle. Une attention presque un peu trop tactiles.
- Je m'habille, Kriss.
Il sourit alors, laissant tomber sa longue chevelure d'un gris terne contre son dos, observant la jeune femme avec envie. Oui, leurs relations étaient devenus un peu trop charnel et fusionnelle, mais cela n'empêchait nullement les deux Shinobis de faire leurs missions comme il se devait. 'Kriss', le ninja aux yeux jade, l'aimait. Il en était certain et il savait aussi qu'elle était au courant de ses sentiments. Et le ninja savait aussi que la dame n'était nullement capable de ressentir ce genre de sentiment pour lui ou même pour qui que ce soit.
Alors il se satisfaisait à la toucher et elle semblait aimé cela. Du moins, il l'espérait. La belle n'avait aucun soucie à jouer avec son corps. Elle n'avait aucun soucie à se donner entièrement. Et, c'était souvent ce qui inquiété son partenaire : son corps, elle ne le possédait pas. Son corps n'était qu'un objet pour elle, un jouet qui lui permettait de parvenir à ses fins. Elle pouvait le sacrifier, cela n'avait aucune importance aux yeux de la belle.

Kriss soupira, un sourire sur les lèvres, regardant sa protéger ‘Rui’ avec un amour sincère. Physiquement, elle était guéris de tout se qu’elle avait pu subir. Moralement, elle semblait avoir pu passer au delà avec une facilité déconcertante. Quel âge avait elle lorsque Kriss l’avait trouver ? Quelque chose comme 10 ans ? Alors … kriss compta, son regard se figea de stupeur : cela faisait aujourd’hui 9 ans qu’elle vivait sous son toit. Ah le temps passe si vite, pensa le jeune homme en la regardant encore.
- Où vas-tu? Demanda ensuite le jeune homme d’une voix suave et douce.
- J’ai une mission.
L’homme hocha la tête. Il pencha la tête sur le coté pour s’attarder à la contemplation de la jeune femme qui se rhabiller.
Oui, elle s’était presque remise de tout cela. Kriss lui soupçonnait encore de grave séquelle. Le fait, simple, qu’elle se fiche de l’état de son corps était un indice important.
Alors, le bel homme tendis la main vers elle. La fille eut un fin sourire, elle approcha, et Kriss l’attrapa derrière la nuque la faisant délicatement tomber sur le lit.
- Je vais être en retard.
- Ca peut attendre.
- La Kage ne peux pas attendre.
- Bien sur que si.
L’homme posa son front sur celui de la demoiselle. Repensant avec nostalgie auw années passées avec elle. Certes, elle ne l’aimait pas comme lui l’aimait. Et il savait aussi qu’elle n’avait nul gène à offrir son corps à d’autre. Homme ou femme. Mais il s’en fichait. Il s’en fichait du moment qu’elle pense, pour toujours, que son foyer était cette maison, et que son lit était celui-ci. Il eut un sourire, il l’embrassa, pensant encore à elle et à ses années.
Oui, elle avait bien grandit. Se corps musclé qu’il touchait était l’œuvre de bien des années d’entrainement et elle avait beaucoup de mérite d’avoir un tel corps. Il soupira. La touchant encore. Elle poussa un gémissement. Il sourit. Il n’était maintenant plus le seul à entendre cela. Il le savait, il le sentait sur son corps. Elle avait l’odeur et les marques d’autres amants. Elle était tellement belle.
- Kriss. » Gémit elle alors à son oreille, le faisant frémir.
L’homme recula alors, grognant son mécontentement. La belle eut un sourire. Elle lui murmura un mot doux avant de s’éclipser.

    Dit moi Kriss, Dit moi mon ami, n’en as-tu pas assez ? Dit moi mon ami, n’en as-tu pas marre que je me joue de toi ? Que chaque soir je te séduis et que chaque matin je te jette?
    Dit moi mon ami, dit moi, m’aimes-tu ? M’aimes-tu autant que je me déteste ?
    Dit moi mon ami, dit moi, me détestes-tu ? Me détestes-tu autant que je m’aime?
    Kriss, si tu savais a quel point je t’aime et je te déteste. Tes yeux verts me perturbent, l’acide de tes yeux guettant mon âme me transperce. Le sais-tu ? Tu es la personne qui m’a aidé. Tu es celui qui m’a sauvé, tu n’es pas un simple Homme pour moi, tu es celui qui me rattache a la vie, tu es celui que j’aime autant que je déteste. Tu es celui qui m’a sauvé, et jamais je ne te quitterais. Le sais-tu ?
    Non bien sur, non. Tu ne sais rien, tu n’as jamais vu mon regard posé sur ton corps lorsque Morphée ta prit. Tu n’as jamais vu mon désir de rentrer lorsque je suis loin de toi. Tu n’as jamais su aussi, que parfois, je cris ton nom lorsque je fais l’amour à un autre. Mais, tu ne sais pas non plus que parfois, lorsque je tue un homme: je vois tes traits dans mes cadavres.


La belle princesse des sables marchaient à présent dans les rues. L’aurore laissait voir un fragment de soleil à l’horizon. La dame était séduite, elle souriait, observant le soleil se lever. Elle aimait observer le soleil de i bon matin, se lever tôt faisait partit de ses drôles d’habitude qu’elle avait acquise. Elle n’en avait pas que des bonnes. Manger de sucrerie faisant partie de ses vices mais là n’était pas la question et elle avait à faire en cette jolie mâtiné.
- « Rui ?
La jeune femme se retourna, mais, elle n’eut pas le temps de voir le porteur de cette voix qu’un nuage sombre tomba sur ses paupières.
Rui tomba inconsciente dans les bras d’une inconnue.

Lorsqu’elle s’éveilla, la jeune femme était dans une position qu’elle connaissait par cœur. Elle n’ouvrit pas immédiatement les yeux, elle resta inerte, écoutant les son autours d’elle. N’entendant rien de précis, la jeune femme ouvrit enfin les yeux observant, devant elle, le visage carré et sans beauté qui s’offrait a-t-on regard. La nymphe observait. Sans dire mot, elle se redressa faisant cliqueter les chaines qui entravaient ses membres.
- Ah la belle se réveille.
La jeune femme pencha la tête sur le coté, le dévisageant toujours.
- Qui êtes vous?
- Qu’importe. Que peux-tu me dire pour ne pas mourir?
- Ah, vous faites dans les rîmes ! Siffla-t-elle.
Le sourire que portait la Belle ne s’effaça nullement lorsqu’il écrasa sa grosse main contre la tête de la dame qui aller se cogner contre les briques du mur qui la retenait. Elle gloussa, reposant ses yeux acier profondément dans les prunelles noirâtres de son tortionnaire.
- Qu’es ce que tu pense faire ? Lui dit-elle alors, d’une voix suave.Me faire du mal ? Ah ah ah
Elle rit, Elle rit fort. Tellement fort que l’homme en semble surprit. Décontenancé, il recula d’un pas. Mais il se reprit bien vite frappant à nouveau la femme au ventre, lui faisant cracher du sang. Mais en rien cela ne l’empêcha de continuer de rire. Plus fort encore, crachant de sa voix perfide:
- Dit moi mon mignon? Que comptes-tu me faire? Le toucher, me violer ? Ah peut être m’arracher les ongles ou encore …
Elle se tue alors, son regard gris trancha net la confiance de l’homme face à elle. Son sourire de biet semblait avoir déjà vu toute les folies du monde et elle était prête une nouvelle fois a les subir.
- Que veux-tu ?
- Des informations sur Suna. Sur la Kazekage.
La belle souffla, roulant des yeux pour enfin déclarer.
- Je ne peux pas faire ça. Tellement … Ennuyeux.
L’homme prit alors une seringue à coté de lui, plantant l’aiguille dans le bras immobile de la jeune femme. De la drogue ? Pensa-t-elle alors. Sans doute, elle avait déjà subit cela, mais ça faisait si longtemps.
- Alors … Dit moi ton nom. »

    Je cris, sa voix, ma voix, tonnent dans ma tête comme un éclaire. Je ne me souvenais plus, je ne me souviens pas que la drogue est si rapide. Je gémis, je tire mes chaines, j’ai mal, je saigne je gémis encore.
    Ah j’ai mal au crane. Ah j’ai tellement envie de …
    - «Je suis …
    Mes mots sortent de ma bouche, glissant sur ma langue et mes lèvres sans que je ne puisse les retenir. Mes pensées frétillent. Je déglutis, je gémis à nouveau, et il repose des mots dans ma tête qui me cause bien des maux.
    - Je ne suis personne.
    Articule ai-je enfin avec difficulté. Je ne vis pas la réaction de l’homme. Mes yeux ne voyaient rien d’autre qu’un amas de couleur ocre et aubergine, passant de l’or à l’argent. Du mal au mal, sans ne nullement passer par le bien. Je gémis encore il me questionne encore et mes mots glissent à nouveau.
    - Je n’ai pas de nom. Je n’ai jamais eut mon propre nom. Ah ah ah !
    Je ris, je glousse encore. Un ricanement probablement sortit tout droit de mes enfers. Tu ne comprends pas. Le sais-tu ? J’aime ça. J’aime la drogue que tu me donne, elle me fait me sentir euphorique. J’aime ça, j’aime tous se que l’on me donne, tout me fait sentir vivante. Tu ne comprends pas ? Moi non plus. Le mal que l’on me fait : se n’est jamais assez.
    Je ris encore. Tu ne comprends pas non plus. Je ris de plus belle lorsque tu me pose une autre question dont je ne comprends même pas les termes, mais à nouveau les mots fil de ma bouche sans que je ne puisse les retenir:
    - Suna est … Un village. Un village de Shinobi divers et varié. Suna est… un village de Shinobi …
    Je répète inlassablement les mêmes mots, lutant contre mon envie d’en dire plus par le semble.
    - AH ah ah ! Empoisonne moi encore mon mignon. Tu sais. Non Tu ne sais pas. Enfin, tu le sauras si je te le dit! Ah mais si je ne te le dit pas …
    Je sens mon corps bouger, tu me frappes ? Oui je crois, mais, la drogue, cette douce drogue qui me plonge dans un monde piquant dont les couleurs vive m’arrachent la rétine, cette drogue, elle me fait me sentir si bien! Je ne sens pas tes coups, je ne sens pas tes mains sur ma bouche pour m’empêcher de rire. Je ris, je ris encore malgré tes mots et tes gestes et je te susurre d’une voix suave:
    - Aucune torture. Aucun maux. Aucune envie, aucun mal ne me ferra dire du mal de mon village. Suna. Si prestigieux. Suna, si beau.
    Je ris encore. Je pense a eux, je pense a toi, a toi Kriss, et ton regard d’émeraude toujours posé sur mon corps. Je pense à toi, à toi qui ne regarde que moi. Ah es ce que tu souffres toi?
    Je ris, je ris si fort encore que ma voix ricoche dans l’air. Je ris. Tu tente de me faire mal, mais rien n’y fait. Le sais-tu ? Aucune torture ne m’atteint. Je suis Shinobi pour cela, parce que mon corps meurtrit ne semble plus souffrir. Je gère mieux que tous les autres la douleur.
    - Ma Kazekage est si belle que tu ne mérites même pas de pensé un instant a elle. AH AH AH! Oui si belle si BELLE!
    Je glousse je penche la tête. Je te vois mieux, mais tu ne comprends pas, je ne comprends pas non plus. Je ris encore et tu tente à nouveau de me faire mal, enfonçant ton arme dans mon flan. Allez tourne!
    - Tourne!
    Déclara ma voix, ah oui, tourne cette arme ridicule dans mon corps. Veux tu que je t’apprends comment faire ? Comment faire pour doter mon corps d’une douleur profonde ? Veux tu que je t’apprends comment mon faire couler mon salle sang ? Ah oui. Sert moi, sert moi, défoule toi sur mon corps mais…
    Je me tais soudain, je te regarde faire, droit dans les yeux, je plonge mon regard dans ton cœur, je te vois. Non, tu ne désire pas vraiment me faire mal. Tu ne comprends pas. Moi si.
    - Si je t’attrape, petite sourie, tu mourras. »


L’homme déglutit. Pouvais-je bouger? Pouvais-je gesticuler ? Pouvais-je me délivrer ? Non, non, il pensait que je ne le peux. Mais le bourreau le craignait tout de même. Je ris, je passe ma langue sur mes lèvres.

Quand soudain, la créature du diable bouge. Elle arrache d’un mouvement fluide l’une de ses mains de ses chaines. Elle se brise le pousse dans son geste mais attrape la gorge de son bourreau serrant doucement.
- « RUI! STOP!
La femme le lâcha alors soudain, comme une décharge électrique dans son corps elle entendit la voix familière de la seule personne à qui elle obéissait. Elle tourna les yeux vers la porte plissant ces derniers.
Elle gémit:
- Kazekage-sama? »
A nouveau, elle tomba inconsciente. A nouveau, elle replongea dans l’abysse de ses mauvais rêves.

Lorsque, à nouveau, elle s’éveilla; la panthère albinos était chez elle. Sa main était bandé, l’homme avec qui elle vivait dormait a ses coté. Elle se redressa. Sans bruit sans faire frémir le ninja. Elle observa sa main, son flanc. Ses blessures étaient réelles. Et son mal de crane montré bien qu’elle avait aussi été drogué. Elle porta les yeux sur la table de chevet et elle vit, trônait au milieu d’une enveloppe d’un blanc jaunis l’emblème de la « garde impérial ». L’emblème des Lames Écarlates. Elle sourit. Comprenant.










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Rui Kiiro
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 15:51

Petit up pour dire que moi aussi j'ai fini =)
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Hoshizora Sakyuu
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 17:24

Vu que c'est de ma garde dont tu fais partie, je vais m'efforcer de te faire un petit commentaire de ce qui vas et ne vas pas ! Et il y a quand même quelques points à souligner. Après, je devrais vite faire une description des Lames Écarlates car là, on est loin du profil désiré x,)


ÉCRITURE & LANGUE ▬ C'est une très bonne fiche dans son ensemble. Bien écrite, avec un certain style, et aussi l'envie de captiver, cela se sent. Malgré quelques fautes, je n'aurais pas grand chose à redire au niveau de l'écriture et du style qui restent de bonne qualité et contribuent à rendre le tout très agréable =D
Attention aux concordances des temps.
Donc je ne m'attarderais pas sur ce point. Voila, voila.

CARACTÉRISTIQUES MENTALES ▬ Ton personnage est le stéréotype même de la jeune sadique et torturée. Ce n'est pas pour me déplaire, j'aime beaucoup ce genre de personnage, insolent, libre et joueur. Mais ton personnage semble justement trop indépendant, trop libéré pour faire partie des Lames écarlates. Les Lames écarlates sont toujours auprès de leur maîtresse, silencieux, calmes. Ils ne sont en général pas aussi spontanés et vifs que Rui. Cela m'embête vraiment de le dire, c'est aussi un peu ma faute, j'aurais du te faire une description plus précise avant. Tout ça pour dire que ça me fait mal au cœur, car ton mental est très intéressant et bien écrit, mais qu'il ne correspond pas au profil des Lames Écarlates.

CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES ▬ Aïe ! La concordance des temps ! On est au présent et on passe tout d'un coup au passé simple en fin de description...Pas très joli à lire...Mais ceci n'est qu'un point de langue, les caractéristiques en elles mêmes sont recherchées, bien écrites, bref, je ne m'attarde jamais trop là dessus.

HISTOIRE ▬ Encore une fois, la concordance des temps. C'est tout ce que j'ai à dire à propos de l'histoire.
Celle ci est bien écrite, la relation Kriss/Rui développée juste comme il faut. Après il manque l'épreuve d'admission des Lames Ecarlates...A moins que ce ne soit l'altercation avec l'homme ^^'
Dans ce cas, il faudra modifier cela, car je ne vois pas en quoi c'est une épreuve. Je peux te donner plusieurs pistes si tu le désires.

Voila, pour le moment, je ne peux pas t'admettre dans les Lames Ecarlates.
Je serais pour ta validation en tant que Rang A une fois que tu auras modifié ta fiche.



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Senju Tenshirama
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 19:41

( Au risque de te contredire Hoshi, tu pars d'un principe que le recrutement des lames écarlates et établis à partir de critères. Je veux bien admettre que tu sois Kazekage, mais en aucun cas le groupe des "Lames écarlates" doit être seulement constitué sous ton bon vouloir. Tous les villages ont un Conseil, un Daimyo. Pour moi, si on veut adhérer à ton groupe il faut obligatoirement le faire comme l'entend la Kazekage. Hors je vois mal quelqu'un vouloir adhérer à ce groupe en acceptant les nombreuses contreparties qu'il doit y avoir. Mais surtout les traits que ceux-ci devront arborer. Enfin tu vois ce que je veux dire quoi ^^ Après, je dis ça, je dis rien, mais je pense qu'il faudrait des critères plus "générale" car je vois plus les "Lames Ecarlates" comme les ANBU pour Konoha. L'élite du village. Bref, c'est ton village et tu feras comme tu l'entends)

Parenthèse fermée, passons à la fiche !
Ce qui m'a vraiment plu dans cette fiche. C'est bien la qualité de l'organisation de la mise en page. Correctement structuré du début à la fin. Je lève mon chapeau pour ça.
J'ai trouvé ta présentation des plus agréables à lire, et tu m'as vraiment captivé, entraîné. Une véritable ballade insidieuse, sensuel et ponctuée d'une habile qualité de description. Tu nous malmènes du début à la fin. Et quand je dis cela, c'est dans le sens positif. Mais il y a tout de même quelques expressions malhabiles. Cependant, rien de bien choquant.
Je trouve ton histoire originale, menée par le bout de la baguette du début à la fin

Pour moi le rang A que tu désires et plus que mérité. Je vous laisse voir entre vous pour cette histoire de "Lames écarlates"
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Hoshizora Sakyuu
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 20:02

Tenshirama ▬ Bien. En effet, ce n'est pas faux. C'est que je me suis un peu emballée avec les Lames Écarlates x)

Rui ▬ Dans ce cas là, prends seulement en compte ce que j'ai dis sur l'épreuve. Elle doit être plus claire dans ton histoire.

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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 21:12

bonsoir! desolé je ne metrais pas trop de majuscule dans ce message, je suis avec mon telephone!

Donc, merci a vous deux! ensuite je vais parler de l'epreuve ! dans mon histoire Rui a eut une epreuve de fois! cest a dire quon la mise a lepreuve sur la fidelité quelle a pour suna et la kazekage! on la faucement torturer pour savoir si elle allait donner des informations sur suna ce quelle nqa dpnc pas fait (evidement cetai facil pour elle) fin voila ! excuse moi d'avance pour l'ortho de ce message!
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptySam 29 Déc - 21:13

Ce n'est pas grave ! Very Happy
Je n'avais pas tout de suite saisi que c'était ça, l'épreuve =)
Bon, et bien, tu es validée ! ^^
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Senju Tenshirama
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] EmptyDim 3 Mar - 15:03

En raison de l'inactivité du personnage et de l'utilisateur, cette fiche est déplacée dans les inactives. Le personnage se voit perdre également son groupe. Pour toute demande de réaffectation, merci de contacter le staff
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MessageSujet: Re: Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit]   Rui Kiiro, l'enfant sauvage. [Finit] Empty

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