Sting EucliffeMembre
Messages : 2 Date d'inscription : 29/01/2013
| Sujet: L'Omyoton(-ien) Mer 30 Jan - 15:45 | |
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❝ IDENTITÉ
NOM & PRENOM : Sting Eucliffe AGE : 16 ans et demi. VILLAGE : Yakuzas RANG : Chef du clan Tengu NIVEAU DE PUISSANCE : S ou Anbu SPÉCIALITÉS : Kekkai Genkai : Onmyoton ÉQUIPEMENT : Frosh n'est pas un équipement!!!
CARACTÈRE DU PERSONNAGE
Tout d'abord, pour décrire le mental joyeux de Sting, je vais démarrer par l'amour. Car malgré l'apparence du gentil chef, derrière Sting, il y a un jeune adolescent qui cherche l'amour fou, le vrai, l'Unique, celui qui lui permettra d'avoir une famille avec de beaux enfants. Quelquefois, le soir dans son lit, il pense à la femme de ses rêves, qui accepterait son côté obscur qu'il ne pourra jamais effacer... La haine, quelque chose de presque irréel chez Sting, enfin, ça l'est jusqu'à ce qu'on touche à quelqu'un qui lui est cher, comme Fro' par exemple, dans un tel cas, la force ténébreuse en lui se montre immédiatement et alors, la haine devient tout à fait normal pour lui, il haït tout ce qui existe. Je vais vite vous dire que, des 7 péchés capitaux, la paresse correspond bien à Sting, et cela se voit rien qu'à la façon de se tenir, de dormir n'importe où. Par contre, bien sur, il n'est pas paresseux pour se battre, d'ailleurs, en parlant de ça. Il change complètement d'attitude lorsqu'il va se battre, cela fait presque peur de le voir changer complètement quand un combat s'annonce, le fait de devenir sérieux et stratège n'est pas du tout dans son quotidien. D'ailleurs, Sting et un très très très grand stratège, il analyse très bien les situations de sorte qu'il arrive facilement à trouver des tactiques qui marches quasiment tout le temps, après tout, le clan Tengu s'occupent du côté discrétion, assassinat, espionnage et autres, il faut bien des techniques pour ne pas se faire repérer. Bon, parlons de l'amitié maintenant, c'est un sentiment plutôt présent chez Sting qui cherche toujours à se faire des amis, de nouvelles connaissances, il trouve les ninjas de son clan trop « coincés » avec lui, il aimerait être plus ami avec eux, mais eux, ne sont pas assez relax et se sentent gênés quand leur chef leur parle de façon amicale, alors, ils ne savent pas quoi répondre. Mais, il aime aussi avoir une certaine liberté, alors, il laisse à son bras droit, son conseiller, la plupart des travaux donné à l'oyabun, il préfère partir une semaine, voyager, aller dans des villages, aider des paysans qui ont des problèmes, de sorte qu'il ait une vie un peu normale. Vouloir mener une vie normale quelque temps était une sorte de rêve pour lui, mais il ne voulait pas laisser tomber son clan sous prétexte qu'il désirait avoir une vie libre et identique à celle d'un vagabond de son âge. L'idéologie, chez Sting, elle est simple, il veut la paix, comme tout le monde, pour tout dire, il voit le monde comme une bille toute noir, sur cette bille, il existe des points qui scintillent en noir, eux se sont ce qui se fiche de la paix ou de la guerre, ensuite, il y a les blancs qui eux veules la paix mais ne font rien pour l'avoir et ensuite, il y a les points lumineux, jaunes qui donnent leurs vies pour qu'une paix s'installe longuement dans le monde, pour Sting, il est une de ces étoiles jaunes. Sting réagis pas du tout comme tout le monde, quand on l'insulte par exemple, il va souffler et dire que c'est ennuyeux en se passant la main dans les cheveux, les combat ne l'excite pas, mais ils le stabilisent car, comme dit avant, il devient sérieux et calme. Il arrive à garder son sang-froid dans n'importe quelle position, le stress est vraiment inconnu à son corps et l'adrénaline aussi. Il cherche à connaître cette sensation qui donne des capacités cachées dans le corps pendant quelques secondes, les capacités que le corps ne montre qu'en dernier secours.
❝ PHYSIQUE DU PERSONNAGE
Il paraît que je dois vous décrire Sting Eucliffe. Comment faire et surtout : par où commencer ? Je vais débuter par la tête tiens, donc, tout d'abord, ses cheveux blonds ! Ils sont spéciaux, eh oui, comme Sting « vit » dans la lumière, ses cheveux restent blonds, quand il passe du côté des ombres et ténèbres, ces cheveux virent au noir et il lui tombe sur une partie du visage, alors que normalement, ils sont fièrement dressés sur sa tête. Ensuite, les yeux, Sting, dans la lumière, a les yeux d'un bleu étonnement clair, lorsqu'on les regarde, on plonge dans une mer turquoise et l'on nage dans le bonheur. Alors que dans l'ombre, Sting a les yeux rouges sang, cette fois-ci, ils nous plongent dans un univers noir, rongé par la souffrance et la haine. Son nez est fin et pas trop long, il est plutôt beau car il s'assemble avec son visage et passe inaperçu contrairement à un gros nez rougi par un rhume. Pour la bouche, elle est fine, elle laisse juste un petit écart presque invisible pour qu'il puisse expirer lentement pour reprendre une inspiration par le nez. Pour faire vite, ces oreilles sont bien visible, sans être décollé pourtant, elle porte des boucles d'oreilles aux lobes. Lorsqu'il passe en mode Dragon force Light, il a des marques blanchâtres au bord du visage, comme si la lumière blanche elle-même était venu se déposer sur les bords de son visage ces espèces de dépôt se forment aussi sur les bras et les jambes. Alors que lorsqu'il passe en mode Dragon force Night, ce sont des réelles marques et « signes » noir avec des formes qui s'étendent partout sur son corps. Les deux modes font émaner une sorte d'énergie, blanche pour la lumière et obscure pour les ténèbres. En parlant des modes, le mode lumière rend les habits de Sting blancs ou d'un gris très clair, ce qui est magnifique, le mode ombre change totalement les habits de Sting et leur donne un style plus maléfique. Le corps de Sting est très sculpté, mais tout d'abord, parlons de lui en général. Il se tient plutôt mal, il a le bassin en avant et le dos courbé pour pouvoir rester droit.Il marche souvent avec les mains dans les poches, il aime bien dormir sur les tables ou s'avachir dessus tout en faisant tenir sa tête sur sa main soutenu par le coude sur la table. Bon, maintenant, parlons du torse de notre ami, il est très fin, presque maigre. Mais le fait qu'il montre beaucoup de tablettes sur son ventre le fait paraître juste mince et beau. Il a des bras très fin, mais musclé tout comme son torse, personne ne s'imagine que son petit point dans son long gant bleu peut, en donnant un puissant coup, projeter quelqu'un sur plusieurs mètres voire même le faire s'écraser sur un mur et qu'il y laisse des fissures. De plus son corps si fin le rend leste, agile et donc, il esquive très facilement et peut faire toute sorte de mouvement. Pour finir : les jambes, c'est la partie qui est sûrement la plus souple de tout Sting, il peut faire un grand écart en plein seau ou mettre des coups de pied au-dessus de sa tête avec une force inouïe et sans difficulté.
Pour plus de précision: Sting normal:- Spoiler:
Dragon force Light:- Spoiler:
Dragon force Shadow:- Spoiler:
HISTOIRE DU PERSONNAGE
Partie I Lorsque je vis le jour, mes cheveux étaient déjà blonds et apparents. J'étais l'unique héritier d'une famille craintive. Craintive d'un pouvoir bien trop puissant pour être maîtrisé, ce pouvoir, il se renferme dans les yeux d'un autre clan et ce clan aux yeux de sang, vous le connaissez tous très bien : C'est le clan Uchiha avec leurs Sharingan. En effet, il y a longtemps, le clan Eucliffe, connu pour ses divers genjutsu fût chasser des territoires du pays du feu par les Uchiha qui résistaient mieux que personne au genjutsu. Alors, les Eucliffe, prit de panique à l'idée que quelqu'un résiste à leurs genjutsu, firent des recherches, beaucoup étaient de bons scientifiques, ils envoyèrent des espions, ils découvrirent énormément de choses. Les recherches sur les Uchiha se menaient à bien et le clan en question et ses membres, eux, ne voyaient rien dans nos plans, ils nous avaient même quasiment oubliés. En parallèle aux espionnages, dans le village, les ninjas se mettaient à l’œuvre dans le but de faire un enfant capable de créer des Genjutsu parfait, dont même le plus haut niveau du Sharingan des Uchiha ne pourrait réussir à briser. De l'autre côté, toute les facultés que pouvait donner le sharingan à 1,2 et 3 virgules avaient été entièrement découverte, plus aucun secret ne régnait, il ne restait plus qu'à savoir s'il n'y avait pas des niveaux supérieurs au sharingan à trois pupille. Une grande bâtisse souterraine entière fût remplie de bibliothèque sur les Uchiha et leurs kekkai Genkai, de notes, de mots compliqués et autres écriture. Car, j'avais oublié de vous dire, le clan Eucliffe était très réputé pour ses assassinats parfaits et ses espionnages, il espionnait tous les clans de tous les pays entiers pour le compte de Konoha. Mais le Hokage les a fait chasser quand ils ont vu que nous gardions ds informations pour nous et des copies de ce que nous leur donnions, nous connaissions tous les secrets de chaque clan, mais, maintenant, beaucoup plus sur les Uchiha. Puis, un jour, alors que nous finissions d'écrire les pouvoirs connus que possédé les Uchiha, deux hommes furent vus et tué. C'était une première pour le clan. Il venait de se faire repérer dans un mission d'espionnage. Quand le seul espion mobilisé dans le clan au Sharingan, pour ne perdre aucun autre hommes, prévint notre clan qu'il se préparait à nous attaquer, ce fût la grosse panique, tout le clan se mobilisait pour placer de puissant sceau et finir de fabriquer l'humain qui les sauveraient. Mais, les Uchiha se déplaçaient déjà, alors, un scientifique prit la tête du labo et fît sortir tout le monde pour qu'ils aillent protéger la bibliothèque pendant que lui resterait ici. Cet homme avait une idée, il n'allait pas sauver tout le monde, il ne pourrait pas, faire une personne à l'âge adulte prendrait beaucoup trop de temps, quelques semaines pour tout dire. Alors, il fît un bébé, dans la cellule-oeuf, il plaça le gène du kekkai Genkai, puis, accéléra l'évolution et un bébé vît le jour. Il le posa dans un coin de la pièce, utilisât le meilleur genjutsu qu'il connaissait pour effacer l'existence du bébé aux autres, effacer le bébé du sens des autres et plaça une barrière protectrice pour que le mur ne s'effondre pas sur le nouveau-né lors de l'attaque. Il sortit en ouvrant la porte et un sabre le transperçât sur l'instant. Un sharingan à trois pupilles flottait sur ses yeux, les cheveux hérissés, il regarda la pièce, puis, ne voyant pas le bébé, lança un kunai avec une ficelle dont il était accroché plusieurs parchemins explosifs. Alors, à cet instant, le laboratoire fut détruit, sauf une petite partie du coin resta en état. Les Uchiha ne s'attardèrent pas et rentrèrent victorieux chez eux, laissant la destruction, les débris et le sang derrière eux... L'homme, il n'avait pas sauvé l'enfant par vengeance, il avait sauvé un enfant par amour, un père, le seul qui avait fait ce choix. Les Uchiha devaient repartir car il n'était pas dans leur pays et donc, n'avait pas eu le temps de détruire les rouleaux que mon clan avait écrits sur eux et le reste des clans du monde...
Partie II
Comment expliquer ce qui se passa ensuite... Tout d'abord, une personne arriva sur les lieux, puis, prit l'enfant. C'était un riche qui avait entendu les explosions, il emmena l'enfant non loin d'ici chez lui et le donna à l'académie ninja du petit village dans lequel il vivait. L'académie s'occupa de l'enfant, il se révéla très doué et dès l'âge de 4 ans, il savait déjà gérer son chakra, il savait qu'il en avait et réussissait à le faire émaner de lui. Il savait facilement s'y faire, et eut son diplôme à l'âge de 8 ans. Il aimait aller à son ancien village en ruine, il se disait qu'il n'était pas détruit entièrement, qu'il cachait quelque chose... Je regardais pour la dernière fois ce qui semblait être les restes de mon clan, je passais la main dans mes cheveux, comme pour remettre en place mes cheveux blond. Je souriais une dernière fois puis regardais ma feuille disant que j'étais inscrit pour aller à l'école des ninjas, en plus, j'allai me retrouver dans la capitale d'Uzushio et quitter mon pays des Sources Chaudes, ma ville natale, mes professeurs préférés pour aller dans un endroit que je ne connaissais pas, inconnu. Mais, je me dépêchais, je reviendrais lorsque je serais Junnin. Un de mes professeurs préféré m'accompagnerait de carriole en carriole jusqu'aux côtes où je prendrai un bateau pour rejoindre la capitale portuaire d'Uzushio. Nous partîmes tous les deux, je ne vis pas le temps du voyage passé, car, je dormis pendant tout le long du trajet et quand nous changions de carrioles, mon Sensei me portait sur son dos. Ce n'est qu'au réveil que je vis le soleil orangé, les nuages roses et oranges, paysage magnifique, tout ça se reflétant sur l'eau, avec mon bateau prêt à partir. De longs et tristes adieux prirent fin lorsque le bateau démarra. Je voyais les côtes de mon pays natal s'éloigner, c'est alors que je pris conscience que je ne savais rien de mon clan, de mes parents et de mon passé avant d'arriver à l'académie. Puis, le crie des dauphins suivant le bateau en faisant de grand bond me fît sortir de mes pensées. Pour ne pas trop détailler, tout se passa vite, lorsque nous arrivâmes à Kekishima, la capitale je fus tout de suite emmené en pensionnat de l'école ninja. Je fis un tour de l'Internat avant d'atterrir à l'entrer, deux enfants, sûrement deux frères, rigolais et rassurait leurs parents, il serait peut-être les seuls enfants du pensionnat avec moi. Ils avaient l'air heureux, et eux, ils avaient des parents, une famille, peut-être une amoureuse. J'étais jaloux d'eux, ils prirent leurs valises et coururent, ils ne me virent pas car ils allaient trop vite pour aller jusqu'à leurs chambres. Je les suivis, cacher derrière eux. Ils avaient la chambre juste à côté de la mienne. Le plus grand rentra, dans la chambre et, au bruit, s'affala sur le lit, l'autre, plus perplexe, regardait la porte grande ouverte à côté, il s'avança sur la pointe des pieds puis, passa la tête devant la porte. Il n'y avait personne car j'étais au bout du couloir, caché derrière un mur, mais il prévint l'autre que quelqu'un était aussi ici car il avait dû voir ma valise. Alors, je me montrai, je sortis de ma cachette et me dirigeais vers eux qui m'avaient vu et me regarder arriver. Je leur souris, signe de sympathie puis leurs dits un simple « Bonjour », attendant qu'il me réponde. Ils m'observèrent quelque temps, échangèrent un regard, puis éclatèrent de rire en pointant du doigt ma coiffure en un énorme « bordel pas possible », j'avais presque les cheveux raide sur la tête... Vexé, je répondis méchamment « A demain ! » puis rentra dans ma chambre en claquant la porte. La nuit fut longue, je pensais à mes professeurs qui devaient sûrement se faire un sang d'encre pour moi. Puis le lendemain, on a dû se présenter à la classe et nous apprîmes les bases ninjas étudiés à l'académie. Mes colocataires d'internat étaient Josh et Jon, Josh, avaient 10 ans et Jon en avait 12, ils étaient doués et actif en classe alors que moi, je m'ennuyais et m'endormais. Le premier mois, nous revîmes les bases de ninja que les élèves apprennent à l'académie, que des rappels, puis, les équipes furent formées. Je me retrouvais avec mes deux colocataires, nous devenions de plus en plus mais car nous n'aimions pas les « carrière », les 4 premiers de la classe qui ont de 15 à 16 et ont été renvoyés à l'école pour avoir agressé un élève, ils devait passer leurs examens Junnin qu'ils avaient ratés maintes et maintes fois de leurs plein grès afin d'être parfait pour l’examen. Finalement, pour avoir agressé un autre élève, ils ont été renvoyé en classe inférieure....Mais bon, tout aller bien, les mois passaient, notre équipe remontaient dans le classement face à l'équipe de 4 qui rassemblait les carrières. En effet, j'étais le meilleur de la classe en presque tout. Par exemple, un jour, alors que nous portions des armures en cottes de mailles, nous devions nous entraîner à vaincre un adversaire avec un kunai seulement. J'étais contre Chaff, la carrière de 16 ans le plus musclé. Sauf que, lorsqu'il m'attaqua, je passai sous son bras, me retourna et arrêta mon Kunai sur la peau de sa nuque. Les carrières voulaient se venger de leurs défaites contre nous, mais, il n'en avait jamais l'occasion. Jusqu'à ce que l'occasion rêvée se présente pour eux. L'opportunité qu'ils attendaient leur fût donné lorsqu'un test eut lieu. Une sorte de jeu de survit dans une immense forêt remplie de lac plus ou moins grand et d'arbre vert. Chaque équipe partie à intervalles de 5 minutes. Si tous les membres d'une équipe sont blessé où déclare forfait, ils peuvent quitter l'arène avec les Junnin qui surveille la forêt. Nous, nous partîmes avant-dernier, juste avant les carrières qui, nous le savions, chercheraient tout de suite à nous éliminer du jeu. Nous partîmes donc tout droit, passant pas les arbres pour ne pas laisser de traces sur le sol. Un coup de sifflet résonna dans toute la forêt, signalant le début de l'épreuve et donc, les carrières partaient à l'instant à notre poursuite. Nous nous écartions des lacs, trop bon point où on pourrait nous voir. Nous posèrent notre camp à droite de la forêt, un peu avant là ou le terrain de l'épreuve s’arrêtait. Si nous tentions de sortir, nous serions probablement arrêtés sur le champ par un Junnin. Toute la nuit passa, puis je fus réveillé par des bruits de pas. Une équipe, non pas les carrières, une autre équipe, je réveillai mes coéquipiers j'attrapais un kunai, eux, fit la même chose tout en utilisant leur Kekkai Genkai. Jon avait le Hyoton, et Josh avait le Shoton, ils allongèrent leurs kunai. L'attaque fût rapide, et même pas une minute après, des Junnin venait chercher les 3 de l'équipe vaincus tout en faisant tonner un grand coup de sifflet pour que tout le monde sache qu'une équipe était vaincue. Au lieu de nous cacher, nous allions à la recherche des autres équipes. Deux coups de sifflet tonnèrent l'un après l'autre, je voyais bien les carrières avoir vaincu les deux ou avoir attendu que l'une batte l'autre pour vaincre la troisième. Il restait encore 4 équipes en jeu. Nous, les carrières, et deux autres. Enfin, juste une autre car un autre coup de sifflet venait de retentir. Les carrière devait vraiment se donner du mal pour nous trouver... En effet, j'entendis des pieds, pas mal de pieds taper sur des branches d'arbres et se dirigeant vers nous, et ils n'essayaient pas de se cacher. Jon et Josh préparaient des techniques avec leurs Kekkai Genkai, et moi. Avec mes petites techniques académiciens, quand soudain...
Parti III Quand soudain, mon chakra « s'éveilla » en moi, et un katana vert turquoise apparu au creux de ma main que je serrai devant moi dans le vide. Je dégainai puis fonça vers l'ennemi, le premier, je le tranchai au niveau des côtes, et il tomba, le second, au dos à l'horizontale, le dernier, en diagonale en partant de l'épaule droite. Ils s'écroulèrent au sol, puis, je retournai pour retrouver mes deux amis frères. Je m'arrêtai devant eux, mais, eux, regardaient partout, comme s'ils me cherchaient. Alors, je leur parlai et leur criai aux oreilles ma présence, mais eux, ne voyait rien, même quand j'attrapai leurs bras, il ne me sentait pas. C'était très bizarre, comme si ma présence avait été effacé, ou même pire, mon existence. Je rangeais alors mon sabre dans son fourreau et soudain, ils crièrent d'effrois, me demandant où j'étais passé et comment j'avais faits pour apparaître devant eux. Alors, je commençai à me poser beaucoup de questions sur ce sabre. Je le dégainai de nouveau, mais là, ils me virent normalement. Il y avait deux choses que je ne comprenais pas, tout d'abord, pourquoi m'ont-ils vu maintenant et pas avant quand mon sabre était sorti ? Ensuite, pourquoi j'avais la sensation que leurs 5 sens m'appartenaient ? Je fis alors un petit test : je concentrer mon chakra dans leur ouï et voulu leurs faire entendre une grosse détonation derrière eux, c'est alors qu'ils se couchèrent comme s'ils avaient entendu une explosion derrière eux dont-ils voulaient se protéger en se mettant ventre à terre. Alors, je mis mon chakra dans leurs touchers pour leur faire sentir que le sol sur lequel ils étaient couchés était brûlant, ils se relevèrent très vite sous la souffrance, et regardèrent leurs mains intactes. Je comprenais enfin, lorsque mon sabre était sorti de son fourreau, je pouvais m'emparer des 5 sens de l'adversaire pour lui donner des illusions, se mêlant au réel. En effet, lorsque je rendis le sol brûlant, la douleur était réelle et non illusoire et si tous les sens étaient utilisés pour rendre une action réelle, elle le deviendrait presque pour la personne visée. Les carrières avaient sûrement entendu les cris de douleur de Jon et Josh, ils accoururent et nous les entendions très bien. J'arrêtais de jouer avec les sens de mes acolytes, j'allais plutôt jouer avec ceux de mes adversaires. Pourtant, quand ils arrivèrent à quelques mètres de nous, je ne sentais pas leurs sens, ceux de mes amis : oui, mais pas les leurs, alors, pour ne pas faire de bêtise, et éviter de consommer du chakra, je rangea mon sabre. Car oui, le pouvoir permet de contrôler les 5 sens, en plus, le chakra consommé ne varie pas en fonction du nombre de personnes visées, mais plutôt du temps de contrôle des 5 sens et le chakra se consomment constamment tant que le sabre est sorti, ce qui fait que le chakra demandé pour les techniques est énorme. Donc, ensuite, Chaff sortit un parchemin, le déroula et, dans de la fumée qui s'échappa des symboles du papier, une immense épée très lourde, tranchante et surtout dangereuse apparut. Pour nous montrer sa force, j'imagine, il la souleva et fît plein de mouvement rapide, comme si elle ne pesait rien, ils allaient attaquer. Nous étions les deux dernières équipes en jeu. Le tout dernier combat. Mais, cette fois-ci, ce n'était pas sûr que tout le monde sorte vivant car, une amère sensation pesait dans l'air : une sensation d'orgueil, de jalousie, de survie, de colère et d'autre chose perceptible. Chaff sauta en l'air et descendit, prêt à donner un gros coup avec son épée. Je fis un salto arrière pour esquiver, j'allai devoir me battre avec mon sabre dans son fourreau. Il courut en ma direction, et donna un coup sur mon flanc gauche, je parais avec mon fourreau. Tenant d'une main la poignée du sabre, de l'autre, la partie avec laquelle je bloquais. Mais, l'arme était lourde et me poussa sur les côtés en me faisant glisser sur le sol de quelque centimètre. Je n'allai pas pouvoir me battre avec mon sabre rangé. Un autre salto arrière, tout le monde me regardait, ils encourageaient Chaff dans l'équipe des carrières qui n'avait toujours pas attaqué Jon et Josh, ils préféraient admirer ma défaite. Je dégainai le sabre puis, environ 25% de mon chakra s’évaporait. Je ne compris pas, puis, remarquai que, lors de mon premier assaut, j'avais aussi perdu 25% de mon chakra. De plus, je pouvais sentir les 5 sens des carrières, ainsi que de mes amis que je sentais toujours. Ensuite, tout fût si simple, j'envoyai un clin d'oeil à l'égard de mes compagnons ninja pour leur annoncer la nouvelle et, commençais à envoyer des illusions. Tout d'abord, bien que je ne bouge, pas, aux yeux de tout sauf de mes amis, qui voyaient moi et le faux moi, je me fis bouger sur les côtés, me rapprocher de Chaff. Je me fis lâcher une bombe fumigène. Personne ne pouvait rien voir ni comprendre, le fumigène illusoire leur empêchait de voir quoi que ce soit. Il fallait que je me dépêche car je sentais mon chakra disparaître très vite. Ensuite, je me fis aller me mettre à la place de son ami carrière, je la transformais en moi, mais qu'aux yeux de Chaff. La fumée se dissipa, et Chaff fonça bêtement sur ses amis, et, sans chercher à comprendre, abattit sa lame sur la fille. Il la tua sur l'instant. Lorsque mon autre moi et donc, sa copine fut étalée au sol, je lui enlevai mon illusion et lui montra qui il avait tué, à la place, je transformai ses amis en moi qui me moquaient de lui, il en tua un autre, un mec, et le dernier, prit de peur, planta son kunai en main dans la tête de Chaff. Trois des carrières sur quatre était mort, mais ce n'était pas fini, il envoya un technique Katon, sur Jon et Josh. Une boule de feu de taille moyenne leur explosa dessus. Brûlés vifs, ils moururent eux aussi. Je n'avais pas eu le temps de les sauver en utilisant mes illusions sur le dernier... J'avais de gros yeux, les larmes montaient, elles voulaient sortir. J'utilisai une dernière fois mon super genjutsu pour faire imaginer à l'assassin de mes amis d'atroce souffrance jusqu'à ce qu'il tombe dans les pommes. À moins qu'il soit mort, du moins, je ne sais pas car j'avais pris mes jambes à mon coup.
Partie IV Je vais essayer de vous faire un bref résumé de ma fuite car je ne m'en souviens pas vraiment. Tout d'abord, je crois être monté clandestinement dans un bateau pour rejoindre ma terre natale. Je me souviens que des gens étaient à ma recherche, pourtant je n'avais tué personne, du moins indirectement, mais je me sentais vraiment coupable. Après cela, j'ai réussi à revenir au pays des sources Chaudes, et, pour ne rien risquer, je n'allai voir personne, juste mon clan. J'avais le pressentiment qu'il cachait quelque chose et donc, pendant plusieurs jours, je cherchai le secret que cachaient les décombres du clan. Je ne trouvais rien, jusqu'au jour ou une sorte de révélation fusa dans ma tête. Depuis que le sabre était apparu, je n'avais que des ennuis. J'allai m'en débarrasser au plus vite. Pourtant, cette quête était tout bonnement impossible, il résista aux flammes et même à un éclair. Alors que j'allai abattre une grande massue sur l'épée, un homme m'interpella : « Je t'observe depuis quelques jours... tu sembles bien décidé à te débarrasser de ce sabre dis donc...
-Bonjour, dis-je poliment, Oui, je veux détruire se sabre car il est la cause de tous mes malheurs. -Tiens tiens, un jour, il m'est arrivé presque la même chose... -C'est bien, en attendant, cette arme est toujours de ce monde ! Je commençais à m'énerver. -Si tu veux, je t'aide. Mais avant cela. Écoute-moi. -D'accord, répondis-je simplement. -Je suis un oyabun, le chef d'un des trois villages composant l'organisation des yakuzas. Aujourd'hui, nous sommes une organisation cherchant, en gros, à créer une paix durable dans le monde. -Sans blague... Qui ne veut pas ça... -Ok, ok, je saute ce passage... Bref, mon clan est un clan spécial comparé aux autres, nous nous spécialisons dans les espionnages, les assassinats et, en partie, nous remplissons les fonds de l'organisation. Nous recherchons la discipline, le calme, le respect, le silence, l'écoute et surtout, en question de travail, la discrétion. Celui qui rate une mission sait qu'une punition conséquente l'attendra au bout. Maintenant. Je te pose cette question cruciale. Veux-tu, toi qui es seul, me rejoindre et devenir mon disciple ? En échange, je détruirais ce sabre qui te préoccupe tant. -Pfff... (en réalité, j'approuvais toutes les conditions pour être dans son clan)... J'aimerais poser quelques autres conditions . -Dis toujours. -D'abord, si je deviens votre disciple, je veux que vous m'entraîniez suffisamment pour que je puisse devenir Oyabun de votre clan. En échange, vous détruisez le sabre et vous m'aidez à découvrir le secret de mon clan. -Je suis d'accord.
Nous nous serrâmes la main, puis. Comme par magie, il détruisit mon sabre en y insufflant beaucoup de chakra de sorte à ce qu'il dépasse sa limite et se détruise lui-même. Mon mentor était intelligent, il devait avoir 60 ans, il était vieux, certes, mais un sage sans limite surtout. De plus, il ne lui fallut que trois jours ont étudié des plans du petit village du clan pour trouver qu'en fait, il y avait, dans la maison centrale, un escalier invisible qui menait au sous-sol, un labyrinthe de bibliothèque sur les clans, les techniques. Une mine d'or pour un chercheur quoi... Puis, je tombai sur cette bibliothèque-là, bien plus grande que les autres, des rouleaux de parchemins plus longs et écrits plus petits, tout ça, sur les Uchiha. J'en avais beaucoup entendu parler dans mon ancienne école, il était redoutable... Enfin, pas contre moi apparemment. (voir chapitre I), j'avais demandé à Papi Jiji (car il s'appelait Jinsoku) de rester un peu plus ici pour que je puisse étudier les notes de mon clan. Je crois qu'il tenait à moi car il acceptait quasiment toutes mes demandes. Lorsque j'eus fini, je n'en revenais pas, j'étais donc le résultat d'une expérience, on m'avait donné un pouvoir capable de vaincre les Uchiha... Si j'avais compris, c'était le sabre : Détruit ! Je n'étais même pas humain ! J'étais une sorte de monstre... Papi Jiji arriva ce jour-là, il me consola pendant longtemps alors que je pleurais à chaude larmes puis, je le suivis pendant plusieurs jours, derrière lui, alors que nous rentrions à son clan. Le clan Tengu, un tout petit village de maisons aux portes coulissantes en tissu, aux toits très spéciaux rappelant les temples et le mur tout blanc. Dès ma première semaine au sein du clan, on m'envoya en mission, avec mon maître bien sur. Nous devions espionner et découvrir un trafic d'animaux en voie de disparition. Lorsque nous arrivâmes sur les lieux, Papi Jiji me demanda de partir d'un côté alors que lui prenait un autre. Une chose bizarre, en effet, je fus vraiment touché par un animal, il me tapa dans l'oeil, c'était un chat, dans un costume rosâtre. Ce chat n'était pas comme les autres, il parlait, et lorsqu'un des deux gardes qui surveille sa cage annonça qu'il était le dernier de son espèce et que sa peau sous son costume rose servirait à faire des pantoufles, je ne put pas m'empêcher d'aller le sauver. Je me débrouillai pour assommer les gardes, récupérer le chat qui répétait : « Fro est triste » sans arrêt en pleurant sans cesse. C'était une chatte, une mignonne chatte. Je la serrai dans mes bras et la consolai pour lui dire qu'elle n'avait plus rien à craindre. Mais, la sentence allait tomber, j le savais, j'avais un tout petit peu fait échoué la quête, mais, échoué quand même, et j'allai recevoir une sentence pour avoir sauvé une chatte parlante toute mignonne. J'entendis soudain un bruit derrière moi, je me retournai, sûrement des gardes et non, Papi Jiji fonça sur moi, il avait un kunai dans chaque main, il donna un coup de chaque sur moi et je fusse propulsé contre un arbre : telle était la sentence. J'avais deux profondes entailles au-dessus de mon arcade sourcillère droite, et encore, il s'était retenu, j'aurai dû recevoir pire. Je ne savais pas ce qui chez moi l'attirait tant pour ne pas m'avoir coupé un bras au moins pour ma faute. On rentra sens un mot, les gens remarquèrent ma cicatrice au front mais ne me demandèrent pourtant pas pourquoi je l'avais eu. J'étais un peu perdu dans le petit village, je passais le plus clair de mon temps à faire la sieste sur les branches d'un arbre et à entendre Frosh, c'était son nom à ma nouvelle ami chat/grenouille, mais elle se surnomme fro et, elle était un peu simple d'esprit après son tromatisme. Elle utilisait souvent des phrases telles que « Fro le pense aussi » où « Fro aime sa aussi ». Mais elle était mignonne et j'aimais beaucoup l'avoir sous ma protection, tellement qu'elle finit par rester sur ma tête, sur mon épaule ou sur mon dos lorsqu'on devait bouger, et resta à mes côtés quand on restait quelque part.
Parti V Deux ans plus tard, je n'avais toujours pas découvert quel réel pouvoir se cachait en moi et je ne savais pas pourquoi Papi Jiji faisait autant attention à moi. Ma cicatrice et fro était devenu une partie intégrante de moi. Puis, un jour, un grand jour, je découvris ce que j'avais de spécial. J'étais en mission d'assassinat contre un chef d'un immense groupe de brigand avec Papi Jiji. C'était mon premier réel assassinat, car c'est moi qui devais le tuer. Fro sur mon dos, nous sautions de branches en branches pour aller au QG de l'organisation des brigands. 4 étages en tout, le grenier est aménagé spécialement pour le chef. Papi Jiji ferait diversion pendant que je monterai par les parois du bâtiment pour atteindre le toit. Tout se passa très bien, j'atteins toit, rentra par une fenêtre ouverte, tout se passa bien jusqu'à ce moment-là. J'étais sur les poutres. Attendant le bon moment, quand, je fus jeté au sol. Le chef des Brigand se tenait devant moi, il me regardait d'un regard perçant. J'avais très peur. Tellement peu que je ne m'étais pas aperçu que dans ma chute, fro avait disparu. Mais, lorsque je la vis pendue par le col de son costume, tenu par la main du chef, un kunai sous la gorge. Tout se déclencha en moi. Je sentis les ténèbres s'emparer de moi. D'habitude, je m'efforçais de rester clame pour rester dans la lumière. Mais là, on ne doit pas me prendre ce que j'aime ! Donc, pour reprendre, une énergie noire commença à sortir de mon dos, mes yeux devinrent rouges. J'allais le frapper avec mon point, il était carrément devenu une main en ombre. Lorsqu'elle alla tout droit vers le visage du chef, il tenta de me planter son kunai dans mon poing de ténèbre. Mais le kunai traversa la main et une autre voix que la mienne sortie de ma bouche : « crois-tu que les ténèbres, les ombres peuvent être attrapés » et mon poing s'abattit sur l'homme qui vola au fond de la pièce et s'écrasa lourdement contre un mur. Il tenait toujours fro à la main, mais, je disparu, sortit de son ombre, et pour récupérer l'être qui m'était cher. Je saisis sa poignée d'une main et de l'autre je coupai son bras à partir du coude en abattant rapidement le tranchant de ma main sur celui-ci. Je pris fro d'une main, et avec mon autre main libre, je jetai le bras coupé, puis transperçasse le ventre du chef. Je devenais maléfique, méchant, et les ténèbres s'emparaient de moi. Je laissai le corps du chef mort. J'entendis alors un petit couinement dans ma main, c'était fro qui pleuré en répétant « Fro pleure », « Fro a peur » et « Fro reconnaît par Sting ». Alors, je vis que mon corps presque entier était devenu noir. En effet, c'était puissant, mais très dangereux. La lumière, fro voulait que je revienne dans la lumière, dès lors, une lumière jaillie de moi, je redevins comme avant, j'avais juste des traces sur les bords de mon visage, sur mes bras comme des traces de lumière, blanche. Fro souris à ce moment, contente que je redevienne moi-même, et pas ma part d'ombre. Je la pris dans mes bras, lui fit un câlin. 4 années ont passé. Papi Jiji était content que je découvre mon véritable pouvoir : l'Onmyoton, le pouvoir du Yin et du Yang. Il m'entraînait à rester dans la lumière, a maîtrisé l'ombre pour que je puisse l'utiliser plus longtemps. Car la lumière, donné un pouvoir qui grandissait au fur et à mesure que tu es en mode Lumière. Le monde ombre, lui, donne un pouvoir très puissant qui augmente en fonction de la colère. Il y a bien sur d'autres techniques sans utiliser les modes, et heureusement car ils sont bien trop puissants pour être montré à n'importe qui, juste en cas de nécessité. Ils étaient si puissants que je les ai nommé « Dragon Force » car après quelque temps en un des modes, la puissance augmentant, devient largement aussi puissante que celle d'un dragon. Pour tout dire, je rêve depuis toujours de voir un vrai dragon... Bon, je vous ai parlé de mes 14 ans brièvement car, c'est une année très sentimentale pour moi. Vous ne comprendrez peut-être pas mais je vous le dis, en effet, ce fût la première année où je pus faire des quêtes seules, sans aide de Papi Jiji, et de plus, j'avais une liberté, je pouvais quitter le petit village du clan et partir pendant 1 semaine maximum. C'était déjà énorme pour moi. Mais la partie importante de ma vie arriva. Car, le jour de l'anniversaire de mes 16 ans. Ce jour-là, Papi Jiji mourut, de vieillesse. Il avait presque 66 ans et c'était déjà très vieux. La tristesse arriva, puis la colère, je réussis à contenir ma tristesse et ma colère avec, mais pourtant, une boule en fusion crachait des pleurs dans mon ventre. Un homme arriva devant moi, il mit un genou et une main à terre pour me saluer, ce qui était la première fois pour moi, il me donna un rouleau et disparu aussitôt. Je lisais dans ma tête :
« Sting,
Je vais mourir, je sens la mort s'approcher de moi. Tout d'abord, joyeux anniversaire au cas où je ne pourrais pas te le dire en face. Ensuite, je te lègue la seule chose que je possède : mon titre, tu deviens dès maintenant l'oyabun du clan Tengu, et de cette façon, je remplis le contrat que nous avions passé le jour de notre rencontre. Cela fait 8 ans qu'on se connaît. Protège mon clan. Je te regarde de là-haut ! ». Voilà donc pourquoi le ninja s'était mis à terre devant moi comme il le faisait pour Papi Jiji.
Aujourd'hui, j'ai 16 ans, je viens d'être nommé Oyabun d'un clan et je conte remplir parfaitement la tâche que l'on m'a donnée !
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